Pionnier dans la création de contenus à forte valeur ajoutée, découvrez "Digital Learning Makers", le podcast qui retrace les nouvelles tendances du digital learning : techno-pédagogie, gamification, andragogie et innovations diverses... Nos experts mais aussi nos clients nous éclairent sur ces thématiques et vous donnent les clés pour transformer les compétences de demain.
Une préférence pour le format vidéo ? Découvrez l'ensemble de nos films sur notre chaîne Youtube : cas clients, interviews, reportages, mais également présentation de notre entreprise, de nos expertises, de nos nouveautés...
Bref : toute notre actualité.
Découvrez un parcours d'onboarding phygital (en digital et en présentiel), gamifié et ambitieux, qui a mobilisé 3 experts en gamification français et suisse (My-Serious-Game, Urban Gaming et Trip Trap). Lancé en juin 2023 aux Hôpitaux universitaires de Genève, ce parcours d'intégration permet d'onboarder 1000 collaborateurs par an, sur près de 160 métiers différents !
Dans cet épisode 43 des Digital Learning Makers, Paul Tairraz (Responsable de la pédagogie et du Digital Learning) et Caroline Rüegg (Chargée de formation) des Hôpitaux universitaires de Genève nous dévoilent les coulisses de la conception et du déploiement de cette solution RH innovante et ludique. En fin d'épisode, nous débrieferons avec Axel Malescassier, Responsable du département Santé chez My-Serious-Game. Bonne écoute !
Episode #42 "Une cheffe de projet Digital Learning donne les clés d'un parcours de formation réussi" avec Claire-Marie Crepin, consultante chez My-Serious-Game.
Pour assister au direct, qui aura lieu le jeudi 11 juillet 2024 à 11h, rendez-vous sur ce lien et posez vos questions en live !
Le serious game "Horizons", réalisé pour et avec l'Ecole de la 2e Chance, était déjà un projet ambitieux : à travers 15 heures de jeu vidéo pédagogique en monde ouvert, il permet à des jeunes en quête d'orientation professionnelle de découvrir de nombreux métiers en tensions et développer de nouvelles compétences utiles en entreprise. Déployée en 2022, la solution fut récompensée par plusieurs prix EdTech et adoptée massivement par son public cible (15000 jeunes stagiaires formés par an). Pourtant, cette solution de formation innovante en avait encore sous le pied, et propose désormais une nouvelle couche qui a un impact très concret sur l'emploi des jeunes en entreprises...
Découvrez la quête additionnelle "Métiers du froid" : dévoilée au Learning Technologies 2024, cette mission bonus dans la fausse entreprise "icyPeasy" présente les valeurs et le quotidien des employés de la société Picard, partenaire du projet. La frontière entre le virtuel et le réel n'a jamais été aussi mince : les jeunes en quête d'orientation vont découvrir dans le serious game un nouveau métier, et Picard peut à l'issue de celui-ci entrer en contact avec les meilleurs joueurs, afin de leur proposer un stage ou un poste, dans la vraie vie ! L'avantage, c'est que ceux-ci seront déjà formés aux bases du métier, et acculturés aux valeurs de l'entreprise. De nombreux groupes de différents secteurs d'activité souhaitent désormais intégrer le monde d'Horizons... Contactez-nous pour rejoindre l'aventure !
Découvrez ce nouveau concept en vidéo :
En plus de différentes récompenses telles que les Cas d'Or EdTech pour la solution de base "Horizons", le module complémentaire "Métiers du froid" a remporté en 2024 le prix "Emploi et Inclusion" aux Trophées du Numérique de la CPME.
Picard tient à remercier "ses clients, qui ont fait preuve de générosité durant la campagne d’arrondi en caisse en 2022, MicroDon qui l'a permis, ses collaborateurs Fonction Supports qui ont promu la campagne (DSI, Communication, Formation, Comptabilité, Ventes…), ses collaborateurs magasins qui ont animé le MicroDon durant toute la durée de la campagne en expliquant (souvent 😊) son objet et accueillent les jeunes de l’E2C en stage, l’E2C qui a pensé à transformer un parcours spécialisé physique en phygital, et enfin My-Serious-Game pour toute la créativité nécessaire à rendre ludique la découverte d’un métier et de ses valeurs".
Mois de la cybersécurité oblige, faisons l'état des lieux des menaces informatiques actuelles et futures et des outils qui protègent nos données et entreprises des attaques de hackers ! Florian Simonot, administrateur infrastructure cloud et DevOps chez My-Serious-Game, nous partage toutes ses astuces pour conserver nos datas en sécurité et limiter les risques de piratages, dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers.
Depuis janvier 2023, My-Serious-Game teste une innovation RH qui a beaucoup fait parler dans les médias : la semaine de 4 jours travaillés. Après 9 mois d'expérimentation et une mise en place effective avec un accord d'entreprise, ses salariés offrent leur retour d'expérience et leurs conseils : quels sont les avantages et inconvénients du 4JS ? Quel impact sur la productivité ? Comment s'organiser avec ses clients ? Les employés de MySG sont-ils prêts à revenir à la semaine de 5 jours ?
Découvrez leurs témoignages dans la vidéo ci-dessous :
Dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers, nous nous penchons sur le métier de développeur, talent aux multiples profils et compétences : le "Dev" va du front au back, touche à Unity ou au Javascript, tape des lignes de code et résout vos bugs, et PARFOIS sort de sa grotte pour nous affirmer qu'il ne passe pas sa journée à aligner des 1 et des 0. Cet univers vous est mystérieux et vous vous demandez comment vos formations digitales prennent corps ? Ce podcast avec Frédéric Brossard, développeur Unity, est fait pour vous !
Dans ce nouveau podcast des Digital Learning Makers, nous abordons le rôle crucial de l'ingénieur pédagogique dans les premières étapes de la création d'une formation professionnelle, et son rapport si particulier avec l'expert métier ou le client. Aujourd'hui c'est Juliette Venturini, ingénieure de formations multimodales chez My-Serious-Game, qui nous parle avec passion de ses missions et de sa méthode, de la théorie aux cas concrets.
Dans ce nouveau podcast des Digital Learning Makers, nous allons voir comment les formateurs de la Croix-Rouge sont passés de l'enseignement sur mannequins de simulation à de la formation en réalité virtuelle 3D, et découvrir les possibilités offertes par la technologie dans le développement du raisonnement clinique des apprenants.
Clarisse Rugard-Carnier (Directrice du département des formations santé Croix-Rouge Compétence Normandie) et Catherine Hubert (formatrice et coordinatrice sur le pôle aides-soignants et auxiliaires de puériculture) nous parlent de ce projet de formation en VR (Virtual Reality) confié à My-Serious-Game. Dans la seconde partie de l'épisode, nous allons nous entretenir avec Alice Lafon (cheffe de projet chez My-Serious-Game), Axel Malescassier (responsable du pôle santé), et Clément Caminal (artiste 3D) pour en explorer les coulisses !
Une nouvelle étude de cas signée My-Serious-Game, à découvrir en cliquant sur le bouton ci-dessous :
Lancée en janvier par My-Serious-Game, l’application Horizons est un serious game qui se destine aux jeunes du réseau des Écoles de la deuxième chance. Le but ? Aider ces jeunes qui ont quitté le système scolaire à développer leurs compétences transversales dans un univers reprenant les codes du jeu vidéo.
Pour lire l'article complet :
Au Learning Technologies 2023 (Paris / Porte de Versailles), My-Serious-Game a présenté pour la première fois sur son stand des démos jouables de ses solutions de formation numérique : du Serious Game avec E2C, de l'application mobile avec la Garde nationale, et de la réalité virtuelle avec Louvre Hotels Group !
Les Cas d'OR sont des événements annuels dédiés à toutes les entreprises de la Publicité, du Marketing, de l'E-Commerce et des nouvelles technologies qui souhaitent démontrer leurs expertises et présenter leurs solutions numériques : les projets les plus innovants et réussis y sont récompensés.
My-Serious-Game a participé à plusieurs des éditions dédiées au marché de l'EdTech, et a même déjà remporté un prix l'été dernier pour son application mobile destinée à promouvoir la Garde nationale (pour vous rafraîchir la mémoire, voici le projet en question).
Le 14 décembre 2022 eut donc lieu à l'Aéro-Club de France à Paris la cérémonie des Cas d'Or Edtech, à laquelle My-Serious-Game présentait deux solutions en compétition : le jeu vidéo éducatif "Horizons", dévoilé récemment pour l'Ecole de la 2e Chance, et la simulation en réalité virtuelle pour la formation des aides-soignants "Premier Pas". Surprise, tous deux ont été primés !
Lauréat de la catégorie "Numérique & Enseignement professionnel secondaire", "Horizons" a séduit le jury par son originalité et l'importance de son contenu : le Réseau "Ecole de la 2e Chance", qui forme chaque année plus de 15 000 jeunes éloignés de l’emploi, s'est rapproché de My-Serious-Game pour développer une véritable aventure en monde ouvert, reprenant tous les codes de la pop culture et des leviers d'apprentissage efficaces pour un public amateur de jeux vidéos. Le jeu "Horizons" permet ainsi aux stagiaires d'évoluer en toute autonomie dans une ville immense à la direction artistique soignée, et de partir à la découverte de nouvelles compétences et de nombreux métiers en tension, en résolvant quêtes et énigmes ! Cette digitalisation ludique de l’apprentissage va venir renforcer l’adhésion des jeunes au dispositif, qui deviennent pleinement acteurs au travers du jeu, tout en bénéficiant de l’appui des équipes pédagogiques de l’E2C.
Mais développer un jeu vidéo pédagogique qui dure entre 10 et 15 heures en un an et demi n’est pas une mince affaire : l'élaboration du game design sur les fonctionnalités et spécificités d'une solution aussi complexe que "Horizons" n'a d'égale que l’enjeu technique qu’il représente (d'autant plus qu'il propose des sessions multi-joueurs). D'autre part, sa conception pédagogique se devait d’être précise, pour traduire le référentiel de l’Approche Par Compétences (APC) développé par le Réseau E2C France en une aventure accessible et prenante. L'ensemble a nécessité plus de 2 800 pages de storyboard pour ses 8 arcs narratifs, une centaine de pages pour les quêtes annexes, 250 questions de Battle Royale, un Game Design Document de 200 pages, de nombreux ateliers avec le client et un nombre incalculable d’assets graphiques et de lignes de code... Suite à un test de sa version Alpha auprès de stagiaires de l'E2C et d'ultimes ajustements, le jeu a été dévoilé le 8 novembre 2022 à la Fondation FDJ, partenaire du projet.
Découvrez toutes les coulisses de "Horizons" à travers un livre blanc, un making-of vidéo et un podcast ici !
My-Serious-Game a vu les demandes en e-santé se multiplier au cours des dernières années, au point d'en inaugurer un département dédié. Forte de beaux succès tels que "IFSImulation", une simulation 3D à destination des étudiants en soins infirmiers, My-Serious-Game a développé d'autres solutions permettant aux futurs personnels soignants de s'exercer sans risque, dans un environnement virtuel particulièrement complet et réaliste.
"Premier Pas", qui s'adresse aux élèves aide-soignants, est un parcours hybride dans lequel ces derniers sont immergés au travers d'une expériences en serious game et en réalité virtuelle. Répondant aux fondamentaux du référentiel, Premier Pas propose des mises en pratiques concrètes de prises en charge patients sur 3 pathologies : AEG, l’hémiplégie et Alzheimer. La réalité virtuelle renforce l'apprentissage par le geste en amenant l’étudiant à réaliser une toilette, manipuler ou encore adopter la posture adéquate vis à vis des patients. Un rapport de simulation vient ensuite compléter ce dispositif pour permettre au formateur de débriefer avec chaque étudiant.
Cette approche innovante de l'apprentissage en santé, déjà finaliste au prix de la formation organisé par l'Agence du Numérique en Santé (ANS), fut récompensée par un second trophée à la soirée du 14 décembre : le Prix Or "Nouveaux contenus pédagogiques".
Découvrez notre département santé et la solution Premier Pas !
Contre tout attente, notre CEO Frédéric Kuntzmann est monté une troisième fois sur scène pour recevoir un nouveau trophée : le jury a en effet décerné à My-Serious-Game le "Prix de l'Innovation", en plus des deux "Prix Or" pour E2C et Premier Pas ! Un grand merci au jury des Cas d'Or, et ravis de recevoir ces belles reconnaissances du travail accompli. Bravo à toute l'équipe de My-Serious-Game et aux clients qui nous on fait confiance !
En plus de vous souhaiter d'excellentes fêtes de fin d'année, Frédéric Kuntzmann, Président de My-Serious-Game, en profite pour dresser un rapide état des lieux du marché de la formation digitale, revient sur les grands succès de l'année passée et présente ses ambitions pour 2023 !
L'École de la Deuxième Chance (E2C) a pour mission de former et d'accompagner les jeunes éloignés de l'emploi vers une insertion sociale, citoyenne et professionnelle durable, tout en répondant aux enjeux des entreprises et des territoires. Avec le soutien de la Fondation d'entreprise FDJ, elle s'est rapprochée du leader français de la formation numérique sur-mesure My-Serious-Game pour développer un ambitieux jeu vidéo pédagogique, le serious game "Horizons".
Au cours d'une aventure haute en couleurs de près de 15 heures, le joueur-apprenant part à la découverte de nouvelles compétences et de nombreux métiers en tension, afin de définir son parcours professionnel et personnel... tout en s'amusant !
Avec nos invités Alexandre PONCELET (Directeur Qualité du Réseau E2C France) et son collègue Rémi BRIFFOX (Responsable du développement des compétences), nous évoquons dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers la génèse du projet et comment My-Serious-Game a traduit la méthode d'enseignement d'E2C en un véritable jeu vidéo parfaitement adapté à sa cible !
Une nouvelle étude de cas signée My-Serious-Game, à découvrir en cliquant sur le bouton ci-dessous :
Dans ce nouveau podcast des Digital Learning Makers, nous répondons enfin à LA question la plus fréquemment posée aux équipes de My-Serious-Game : une formation digitale, combien ça coûte ? Bien sûr, le prix d'un Digital Learning sur mesure, qu'il repose sur de la réalité virtuelle, de la simulation 3D ou un simple elearning en 2D, peut varier du tout au tout... Mais il faut aussi tenir compte du coût par apprenant et de bien d'autres facteurs pour déterminer si votre parcours de formation offre un bon retour sur investissement (ROI) ! Aurélie Duclos, Directrice Générale et co-fondatrice de My-Serious-Game, vous explique tout dans ce nouvel épisode spécial $$$... Et au fait - on n'a rien contre les Twingos hein...
Comme une ambiance de vendredi dans ce nouveau podcast ensoleillé des Digital Learning Makers (garanti "enregistré sans clim") : Gabrielle, Marc et Julien rentrent tout juste de Dubaï, où My-Serious-Game représentait la France et la Région Centre Val de Loire (merci Dev'up !) au démesuré salon de l'innovation GITEX. Dans cet épisode, il est question de voitures volantes et de brosses à dents magiques, mais surtout de l'avenir du Digital Learning au Moyen-Orient...
Quel futur pour le Digital Learning au Moyen-Orient ?
Le GITEX est un immense salon de l'innovation qui se tient chaque année à Dubaï (Émirats Arabes Unis), au Dubai World Trade Center. Gabrielle, Marc et Julien y représentaient My-Serious-Game et la Région Centre Val-de-Loire (grâce à Dev'up) et plus globalement le monde de l'EdTech (sous la bannière French Tech), qui semble avoir un coup à jouer dans une partie du globe où le Digital Learning n'en est qu'à ses balbutiements...
My-Serious-Game n'en est plus à ses premiers déplacements à l'étranger : nous avons déjà participé au Web Summit à quatre reprises et deux fois au CES de Las Vegas, pour ne citer qu'eux. Mais il semblerait que le GITEX atteigne des sommets en termes de démesure... Voyez plutôt : leur site annonce pas moins de 5.000 exposants de 170 pays pour plus de 100.000 visiteurs ! À titre de comparaison, le CES a cette année accueilli 2.279 exposants de 58 pays et "seulement" 45.000 curieux...
Malheureusement, nos trois collègues n'ont pas vraiment compté, donc on va les croire sur parole. Ce qui est sûr, c'est qu'un millier de speakers de renom sont venus partager leur vision du futur et vanter les mérites de leurs solutions révolutionnaires. Parmi eux, le VP Global Innovation Policy and Communications d'Amazon, le co-fondateur de Kaspersky (en fait, Monsieur Kaspersky en personne), le responsable de l'IA chez Huawei, le président de Mastercard ou encore la vice-présidente de Meta, entre autres. Bien sûr, le premier speaker annoncé n'est autre que H.E Omar Sultan Alolama, ministre des Émirats Arabes Unis pour... l'intelligence artificielle ! Ah carrément ??
Forcément, le sujet de l'intelligence artificielle était donc bien présent sur le GITEX, de même que le métavers, la blockchain et les solutions de réalité virtuelle. Nos collègues y auraient même vu des voitures volantes ! Mais qu'en est-il du sujet qui nous intéresse vraiment, à savoir l'offre de formations digitales innovantes à destination des professionnels ?
Eh bien, il semblerait que notre cœur de métier soit quasiment inconnu aux Emirats Arabes Unis. Le concept de formations ludiques et numériques ne leur est pas étranger, mais il est surtout utilisé pour l'apprentissage des enfants ou des universitaires plutôt que pour la montée en compétence des collaborateurs. De même, l'accent semble mis sur la gamification au détriment de la pédagogie, quand nous savons qu'un savant mélange des deux est la clé d'un parcours de formation réussi.
Pourtant, Julien est formel : Dubaï finira par s'y intéresser. Il explique : "Sur la partie learning, la tendance à Dubaï n'est pas à la formation des collaborateurs puisque c'est un pays qui attire les talents (tu viens en tant que talent, tu restes en tant que talent, ou tu repars...) et il y a une offre qui est assez large pour qu'ils ne soient pas encore rentrés dans cette tendance là. En revanche je pense que d'ici 4 ou 5 ans, ils vont y venir et ils seront obligés d'y venir... Pourquoi ?
Parce que quand ils vont avoir un certain nombre de collaborateurs qui restent sur place, qui s'inscrivent dans la durée et auprès de leurs équipes, ils vont avoir les mêmes problématiques que toutes les entreprises ailleurs dans le monde, c'est à dire l'engagement des collaborateurs, la montée en compétences, le transfert des savoirs... C'est juste une question de temps !"
Si vous voulez avoir une compte-rendu complet de vive voix, nous vous invitons à écouter l'épisode spécial de notre podcast Digital Learning Makers, avec nos invités Gabrielle, Marc et Julien !
Comme une ambiance de vendredi dans ce nouveau podcast ensoleillé des Digital Learning Makers (garanti "enregistré sans clim") : Gabrielle, Marc et Julien rentrent tout juste de Dubaï, où My-Serious-Game représentait la France et la Région Centre Val de Loire (merci Dev'up !) au démesuré salon de l'innovation GITEX. Dans cet épisode, il est question de voitures volantes et de brosses à dents magiques, mais surtout de l'avenir du Digital Learning au Moyen-Orient...
Pour fêter les 8 ans de My-Serious-Game, l'équipe a réservé une surprise de taille à ses deux co-fondateurs Frédéric Kuntzmann et Aurélie Duclos !
Cliquez ici pour voir la vidéo :
En quoi consiste le métier de directrice artistique, et quel impact le design a-t-il dans le succès d'une formation professionnelle ? Aline DESSESSARTS, DA chez My-Serious-Game, évoque les grandes tendances graphiques dans le Digital Learning, détaille son processus de création et explique comment style et cible doivent impérativement matcher pour que la formation parle à l'apprenant.
Metaverse, Blockchain, NFT, Web3... Vous avez tous déjà entendu ces termes. Simples buzzwords ? Véritables révolutions ? Et quel avenir dans la formation professionnelle digitale ? Frédéric Kuntzmann (Président de My-Serious-Game) et Marc Eftimakis (Expert technique) confrontent leurs points de vue sur ces tendances et les opportunités qu'elles représentent (ou non) pour le secteur de l'EdTech !
Quelle est la différence entre pédagogie et andragogie ? Comment apprend-on à 5, 25 et 50 ans, et comment mesure t'on la qualité de l'apprentissage ? Lucie Leduc, ingénieure de formation chez My-Serious-Game, nous dit tout sur les mécaniques de transmission du savoir et confie ses secrets pour dispenser une formation professionnelle efficace !
Lilian Vidal, Game Designer chez My-Serious-Game répond à une question pas si évidente : est-il possible de tout gamifier ? Peut-on rendre ludique une formation sur des sujets politiques ou juridiques, ou même des problématiques graves comme la pollution ou... les tueries de masse ? Et finalement... À quoi sert la gamification ?
Abonnez-vous à notre chaîne de podcasts Digital Learning Makers sur votre plateforme de streaming favorite (Spotify, Deezer, Soundcloud...) pour ne manquer aucun épisode ! Cette série vous est proposée par My-Serious-Game, l'expert français de la formation digitale sur-mesure.
Une nouvelle étude de cas signée My-Serious-Game, à découvrir en cliquant sur le bouton ci-dessous :
Un des défis actuels pour la Garde nationale est d’améliorer sa visibilité, de faire comprendre à quoi elle sert et susciter de nouvelles vocations afin d'accroître ses effectifs. C’est dans ce cadre qu'elle a fait appel à My-Serious-Game, pour créer un format de communication au concept novateur, ludique mais tout aussi sérieux que l’est le sujet. Ce fut aussi un challenge pour le leader de l'EdTech sur-mesure : il lui fallait délivrer une solution en un temps record, la Garde nationale souhaitant profiter de ses Journées Nationales des Réservistes pour déployer cette nouvelle application.
Découvrez comment le jeu mobile "Quiz national ! Le Défi !” est né, dans cet épisode des Digital Learning Makers enregistré à l'Ecole Militaire à Paris, avec Aurore XAVIER (cheffe de projet chez My-Serious-Game), le Lieutenant-colonel Christophe POUJOL et le réserviste Nicolas HENRY !
Frédéric Kuntzmann (CEO de My-Serious-Game), Cécilia Scalvini (Talent Development & Culture Director chez Petit Bateau), Antoine Pernet (Co-CEO de Microdoing) et Carine Tournier (Directrice Développement de Microdoing et ex-Responsable Formation de Kidiliz Group) livrent leurs regards sur la formation et ses résultats, en partageant leurs témoignages.
Découvrez ci-dessous le replay de la diffusion live du 10 mai 2022, enregistrée chez BPI France par Rektangle Production !
Une nouvelle étude de cas signée My-Serious-Game, à découvrir en cliquant sur le bouton ci-dessous :
Nicolas MOREL (Président de Monkey tie) et Yoann ROBIN (Consultant chez My-Serious-Game) nous livrent dans cet épisode du podcast Digital Learning Makers tous les secrets de leur collaboration fructueuse sur le serious game de la plateforme "Pass to work". Comment s'y sont-ils pris ? Et qu'apportera ce nouvel outil utilisé par Pôle Emploi, Adecco ou l'Armée de Terre ? Les deux co-créateurs partagent leurs souvenirs d'un challenge relevé haut la main, et les clés d'un partenariat réussi : trouver le bon dialogue et le tempo dans la collaboration.
Créatrice de formations digitales, la société My-Serious-game entreprend depuis quelques années d’apporter son expertise aux acteurs de l’enseignement. Dans le monde de l’éducation, elle porte trois grands projets destinés à révolutionner les usages en matière d’apprentissage. Les explications de Frédéric Kuntzmann, co-fondateur.
Pour lire la suite de l'article :
Le Web Summit, c'est "la meilleure conférence au monde sur la technologie" selon le magazine Forbes, et depuis 2017, My-Serious-Game est au rendez-vous ! Cette année, c’est notre Sales Manager Julien Houdinet qui a eu la chance d’y assister, accompagné de notre Head of Engineering Quentin Giraud. Avant de vous plonger dans notre podcast compte-rendu, revivez cet événement hors du commun sous la plume de Julien !
Au revoir Tours, Bom Dia Lisboa ! Il est 12h17, gare de Tours. Nous embarquons dans le TGV pour Orly avant de prendre notre vol de 14h35 pour la Mecque du digital. Le salon Web Summit de Lisbonne, déjà en pleine effervescence, nous attend pour nous faire vivre une expérience incroyable à un rythme effréné : 43 000 passionnés de technologie vont s’y bousculer pour assister aux conférences des géants Microsoft, Amazon, Reddit ou Instagram pour ne citer qu’eux.
Au programme de la semaine : rencontre de la French Tech lundi soir au loft bar de Lisbonne... Une première étape qui nous fait rencontrer nos confrères surmotivés de la French Tech venus exposer au salon et découvrir avec plaisir et soulagement que nous partageons les mêmes joies et peines de l’univers des startups. Ceux qui ont déjà parcouru l’évènement dans la journée nous préviennent, vous allez en prendre plein la vue !
Et effectivement, dès le mardi matin, après avoir été scannés mille fois et subi une fouille en règle au sas d’entrée, nous découvrons le Web Summit dans toute sa splendeur. Ça brille, ça fourmille de monde et sans avoir organisé vos visites à l’avance, vous pourriez passer la journée à errer entre les stands sans savoir où donner de la tête. Heureusement, nous avions déjà fait notre sélection via l’application Web Summit. On y retrouve l’agenda des interventions des grands noms de la tech, la localisation des exposants, un chat et un carnet d’adresses bien utile pour organiser vos rendez-vous avec vos partenaires et clients en devenir.
La journée est donc consacrée à la veille technologique (notre CTO Quentin est au paradis), à la rencontre de partenaires commerciaux et à la recherche de concurrents aussi : parce qu’il n’y a pas de mal à trouver l’inspiration chez son voisin mais surtout parce que cela vous permet de valider votre modèle si vous avez encore des doutes... Si si, ça arrive même aux meilleurs ! Bonne nouvelle pour EdMill, la plateforme de création de formations digitales que nous sommes venus présenter (élue "meilleure application dans la catégorie Education" par Microsoft Teams pour l'année 2021, on pose ça là) il y a effectivement quelques pépites EdTech mais on ne concourt pas dans la même catégorie. Notre approche basée sur l’accompagnement à la création de formations digitales par la pédagogie ne nous place pas parmi les outsiders mais bien chez les pionniers de la formation digitale. La qualité pédagogique délivrée à travers des activités accessibles à tous, formateurs comme apprenants, c'est ce qui fait la différence !
Les conférences s’enchaînent et nous y découvrons un sacré pêle-mêle : le futur de la tech en Europe, la montée en puissance de l’intelligence artificielle (un sujet récurrent dans les éditions précédentes, cf notre Video Report de l’édition 2018), du machine learning et de la blockchain mais aussi des débats sur l’éthique dans l’univers de la tech et les questionnements liées à la sécurité des données utilisateurs. On ne nous avait pas menti, la journée passe à une vitesse éclair, et c’est la tête remplie d’idées et de réflexions que nous rejoignons nos appartements. Nous détaillons ces découvertes et conclusions dans le podcast à écouter ci-dessous !
Le temps d’enfiler son plus beau costume et direction l’Ambassade de France pour une soirée en l’honneur du rayonnement des startups françaises au Portugal et dans le monde. La French Tech est fière d'y porter ses couleurs et la présence de Business France et de la BPI favorise les synergies. Nous programmons déjà notre prochaine intervention au novembre numérique de Lisbonne en partenariat avec l’IFP (Institut Français du Portugal). Cette journée de formation intitulée « S@lto Digital no ensino » sera l’occasion de mettre en avant des outils numériques innovants au service de l’apprentissage des langues étrangères et de la DNL, que ce soit en classe en ligne ou en présentiel. Il est déjà 23h, c'est l'heure du couvre-feu pour une nuit de sommeil bien méritée avant le grand jour. Demain 8h, le monde du digital découvrira EdMill pour la première fois au Portugal !
Réveil aux aurores, on se réchauffe comme on peut autour d’un café sur le stand PS 314, en plein cœur de l’espace dédié à la French Tech. Il est 9h, les premiers visiteurs font leur apparition. La matinée démarre fort avec de nombreuses rencontres, et des profils très différents : experts métiers, responsables de formation, représentants d’université, organismes de formation et indépendants... tous très curieux de notre démarche et à la recherche d’un outil pour leur usage personnel mais également pour leurs clients. Cinq à dix minutes par personne, c’est à peu près le temps que vous avez pour expliquer ce que vous faites et susciter l’adhésion autour de votre solution. Un excellent exercice de pitch et d’argumentation !
Il est midi, nos cordes vocales commencent à se plaindre et l’estomac nous rappelle qu’il est l’heure de la pause. Mais pas question de laisser un stand vide, on organise un petit roulement pour le déjeuner (vous l’avez compris, ne venez jamais seul !). Quentin a le plaisir de « prendre le premier quart » en compagnie du représentant de l’ambassade de France et de Business France qui sont venus nous saluer et nous encourager. Dès 14h, le Web Summit 2021 bat son plein, nous ne sommes pas trop de deux pour répondre aux sollicitations. On échange en français pour certains, en anglais pour beaucoup d’autres (si vous ne parlez pas la langue de Shakespeare, c'est game over).
17h30, épuisés mais riches de beaux échanges, il est l’heure de plier bagages et rentrer donner du repos à nos cerveaux et nos jambes qui donnent clairement des signes de fatigue. Ce soir nous débriefons et savourons une dernière nuit dans cette ville magnifique et chaleureuse qu’est Lisbonne. Demain, nous reprendrons l’avion la tête remplie de souvenirs, avant de retrouver nos camarades de jeu dans nos locaux à Tours. Une ville toute aussi accueillante si vous avez l’opportunité de venir nous y rendre visite et si vous voulez nous y voir en vrai. On vous attend avec un café et de l’énergie à revendre 😉
Au lendemain de leur retour du WebSummit, Julien et Quentin ont été les invités d’un épisode spécial de notre podcast Digital Learning Makers. Nous y évoquons les conférences et technologies innovantes dévoilées sur cette édition, et leurs applications dans le milieu de la formation : blockchain, gestion des données, outils all-in-one... Quelles innovations bousculeront le monde de l'EdTech en 2022 ?
Toutes les réponses dans ce nouvel épisode ci-dessous !
Comme chaque année, une partie de l'équipe de My-Serious-Game s'est rendue à Lisbonne pour le Web Summit, considéré comme "la meilleure conférence au monde sur la technologie" (Forbes). Sous la bannière French Tech, nous y présentions notre produit EdMill, mais nos correspondants Quentin Giraud (Head of Engineering) et Julien Houdinet (Sales Manager) en ont profité pour assurer une veille technologique dont ils nous livrent tous les secrets dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers : blockchain, gestion des données, outils all-in-one... Quelles innovations bousculeront le monde de l'EdTech en 2022 ?
Si l’engouement suscité par la mini-série Le Jeu de la Dame tient à la virtuosité inspirante du personnage de Beth, c’est aussi parce qu’elle rend abordable un jeu plutôt difficile d’accès.
Comme l’a expliqué Nick Barton de Chess.com, l’un des principaux sites de jeu d’échecs en ligne, dont le nombre de joueurs a augmenté de deux millions suite à la sortie de la série : « Les échecs deviennent populaires quand il devient facile de comprendre les enjeux qui se cachent derrière une partie ».
La force de la série réside aussi bien dans le réalisme quasi chirurgical avec lequel les parties d’échecs sont dépeintes, que l’attention particulière avec laquelle l’univers des années 60 aux Etats-Unis est photographié. Rien n’est laissé au hasard : décors, costumes, tout a sa place et tout fait sens…
Vous ne vous attendiez peut-être pas à voir ici une chronique cinématographique. Et pourtant, le succès du Jeu de la Dame a de quoi inspirer les responsables RH pour réussir le marketing de leur(s) formation(s). Si maintenant vous ne doutez plus de la pertinence de marketer vos formations grâce au premier article écrit sur le sujet, il vous tarde très certainement de découvrir comment tirer parti du succès de cette série pour vos formations. Embarquez pour un décryptage des mécaniques employées.
La manière dont vous allez communiquer sur une formation aura une forte répercussion sur son succès. En offrant une vision cohérente et globale à vos collaborateurs, vous mettez toutes les chances du côté de votre dispositif de formation. Mais la chance a-t-elle vraiment sa place en parlant d’un jeu où cohabitent stratégies, tactiques, anticipation et adaptation en temps réel ?
The Queen’s Gambit fait référence à une ouverture très connue des joueurs d’échecs, que le personnage de Beth va utiliser à plusieurs reprises dans la série. De la même manière, le titre de votre formation doit rester cohérent avec le contenu que vous proposez, et faire des liens avec le sujet, qu’ils soient descriptifs ou métaphoriques.
Vous avez travaillé des semaines, voire des mois pour concevoir une formation et le temps est venu de la mettre entre les mains (ou plutôt sous les yeux…) de vos collaborateurs. Mais comment décrire en quelques mots tout un parcours ?
Ne laissez rien au hasard, travaillez savamment le titre, car il porte en son sein une promesse, une projection, un univers. Il est comme une invitation. Attention toutefois à ne pas décevoir votre cible apprenante (n’ayons pas peur des mots et empruntons le langage du marketing) avec un titre, certes accrocheur, mais décorrélé de la thématique ou du storytelling de votre formation. Restez alignés avec votre univers.
Créer un nom pour une formation sur un sujet technique ou peu passionnant n’est pas chose aisée, et il vous faudra remuer vos méninges, faire papillonner à plusieurs reprises vos neurones dans un bain de créativité pour trouver l’idée du siècle, tout en vous faisant aider par le pôle communication de votre entreprise ou par des experts du digital. Et comme vous n’êtes pas forcément un publicitaire dans l’âme, apprécions une première tactique dont vous pourriez vous emparer.
Le titre d’une formation peut par exemple parler de l’objectif de votre héros en même temps qu’il le présente, comme c’est le cas avec le serious game que nous avons co-créé avec l’Afnor : Le défi d’Emma. Il peut être approfondi par un sous-titre (une base line) qui évoque la thématique de votre formation : Itinéraire d’une innovation (l’objectif fixé ici par ce serious game était en effet d’expliquer les différentes phases du processus d’innovation). Agrémenté d’un design graphique qui fait la part belle à un personnage visuellement fort et reconnaissable, comme l’est Beth dans la série, et vous voilà déjà bien parti pour créer une première cohérence holistique entre les mots et l’image.
Si René Magritte a joué avec les mots et les images dans son célèbre tableau La trahison des images, plus couramment nommé « Ceci n’est pas une pipe », (en effet, mais une représentation de celle-ci), amusez-vous aussi à jouer avec le nom de votre entreprise.
Repensons à la web application créée pour le groupe Mazars présentée dans l’article précédent. Elle s’intitule tout simplement Mazars race, tactique qu’on pourrait nommer celle du Less is more ou du KISS – Keep It Simple, Stupid -, simple et efficace. Le sentiment d’appartenance au groupe est fortifié par cette corrélation verbale entre jeu et entreprise, et le principe de l’anagramme utilisé pour la création du nom de l’antagoniste de l’histoire nommé « Dark Azmars » (vous l’avez ?), créant ainsi un impact fort dans le storytelling de la formation.
C’est l’angle que nous avons choisi pour le nom de notre outil EdMill qui est une contraction de deux termes, l’un descriptif et l’autre métaphorique: ED pour EDucation et MILL pour le moulin, en anglais. La symbolique du moulin est associée à sa fonction : il transforme le grain en farine, comme l’outil EdMill vous accompagne pour transformer votre contenu brut, des connaissances éparpillées, en une formation appétante grâce aux conseils techno-pédagogiques qu’il distille. Son sens métaphorique évoque une promesse, sa référence éducative son objectif.
Un titre accrocheur est donc déjà une belle ouverture dans la partie que vous aurez à jouer pour commencer le marketing de vos formations. À travers lui, c’est la tonalité du parcours techno-pédagogique qui sera annoncé, et avant même d’avoir commencé la formation, vos collaborateurs seront déjà embarqués dans un monde, qu’une direction artistique attrayante et adaptée à votre public viendra appuyer. L’identité visuelle du parcours est d’ailleurs essentielle comme une charte graphique l’est à toute identité de marque. Votre formation doit être facilement reconnaissable comme le sont les pièces d’un échiquier. Formes, couleurs, logo, typographie, personnages, univers… tout doit être accordé pour permettre d'identifier votre formation au travers des différents médias avec lesquels vous communiquerez.
Si vous doutez encore qu’une formation doit être à minima packagée, ou qu’une campagne de communication et d’information doit être lancée, laissez-nous vous partager quelques chiffres de l’étude réalisée par Edflex ; formation en entreprise : les nouveaux besoins des salariés. En 2021, seuls 58% des salariés connaissent l’offre de formation proposée par leur entreprise, et seulement 36% considèrent que leur entreprise les encourage à suivre des formations, de manière formelle ou informelle. Autant dire que la communication sur les formations ne semble pas encore être une priorité.
Ces chiffres sont à mettre en parallèle avec une montée en compétence encore trop frileuse des équipes formation à ce sujet. Le benchmark annuel entrepris par Towards Maturity (2021) révèle que le marketing de la formation a été reconnu à 80 % comme étant une compétence clé pour les équipes de formation, et que seuls 40% de ces responsables déclarent avoir cette compétence au sein de leur équipe.
On parle pourtant bien d’offres de formations, et ce n’est pas parce que ces objectifs micro ont une visée noble d’apprentissage, que d’un point de vue macro, ils ne répondent pas à des enjeux de performances pour l’entreprise qui finance l’investissement dans le développement des compétences. Les enjeux sont autant opérationnels que stratégiques, et si la qualité de votre formation en dépend, sa communication est bien le premier levier à actionner.
Aux échecs, l’analyse de la position de chaque pièce doit tenir compte des différentes combinaisons possibles. La manière dont vous déplacerez vos actions marketing et de communication sur l’échiquier de votre entreprise devra être de la même manière pensée pour trouver et actionner les bons canaux de diffusion de l’information. Une pièce n'a pas la même valeur et la même efficacité, quand elle est étouffée par d'autres ou qu'elle est libre d'agir plus ou moins à sa guise sur l'échiquier. Et il en est de même pour les outils que vous aurez à disposition pour communiquer sur votre formation.
Si vous déplacez vos pièces sans les sécuriser avec d’autres, vous risquez de perdre la partie. De la même manière, si vous n’utilisez qu’une newsletter pour communiquer, vous réduisez vos chances d’attirer vos collaborateurs. En revanche, si vous sécurisez votre cavalier par une tour, une newsletter par un teaser, vous commencez à baliser votre stratégie, et à renforcer l’usage de chaque pièce. Et pour garder un coup d’avance, faites entrer la dame, en créant un événement qui viendra actionner l’engagement de vos collaborateurs pour qu’ils rentrent dans la partie.
Un bel exemple est celui du parcours en réalité virtuelle sur le management de Louvre Hôtels Group. Outre le fait que la réalité virtuelle soit en elle-même un outil de communication, puisqu’elle permet notamment de créer une expérience ludique et innovante, la bonne idée du groupe a été d’envoyer à chacun un cardboard à monter soi-même pour suivre la formation. Une fois celui-ci monté, il ne fait aucun doute que les collaborateurs n’avaient qu’une hâte : se plonger virtuellement dans l’univers interactif de Louvre Hôtels Group. En 2019, ce projet a reçu le meilleur taux de participation, toutes formations digitales confondues, au sein de Golden Tulip.
Les différents canaux de communication qu’utilise votre entreprise sont comme les pièces de l’échiquier que vous avez à disposition pour bâtir votre stratégie de communication ; elles jouent ensemble, œuvrent pour atteindre un même but, telle une équipe sportive. Chacune a ses forces, chacune répond à un moyen et toutes sont solidaires.
La communication sur une formation est souvent réduite à l’utilisation d’un teaser unique, comme certains joueurs d’échecs se cantonnent à utiliser la même ouverture dans chaque partie. Agrémentez votre communication de flyers, d’affiches, d’un site internet dédié, d’un événement convivial, d’un stand où on pourrait flasher le QR Code de la formation, d’un effet à retardement du type « J-3 avant… », et n’hésitez pas à cartographier votre échiquier en ciblant les lieux incontournables de votre lieu de travail (hall d’entrée, ascenseurs, machines à café…). Les pièces avançant sur des cases, vos actions doivent elles aussi se déployer sur tous les lieux de votre entreprise qu’ils soient physiques ou numériques.
Les actions de communication en présentiel ont un fort avantage en cette période où les relations humaines se sont parfois réduites à peau de chagrin. Néanmoins, jouer ce cavalier seul est risqué pour consolider votre stratégie.
Avec l’hybridation du travail, il n’a jamais été aussi nécessaire de penser multicanal pour attirer l’attention d’un maximum d’individus. Le télétravail a accéléré la digitalisation des entreprises, et la pandémie a activé la nécessité de passer à une « organisation apprenante », agile, capable de s’adapter à ce monde V.U.C.A (volatile, incertain complexe et ambigu).
Comme l’évoquent ensemble Frédéric Kunztmann, CEO de My-Serious-Game et Séverine Guilliet, directrice du Centre des Innovations de Microsoft (MTC) dans cette vidéo, à l’occasion du Learning Technologies France 2021, les collaborateurs doivent dans ce contexte devenir acteurs dans l’entreprise et dans leur parcours de formation. Et la clé en serait la communication interne.
D’où l’intérêt pour les responsables formation de créer et d’animer une véritable communauté d’apprenants, à travers des espaces collaboratifs numériques ou présentiels. Et pour engager les apprenants, la communication interne prend une autre dimension quand elle est relayée par des personnes dans l’entreprise, qu’ils s’agissent des apprenants eux-mêmes, de formateurs internes occasionnels (FIO), ou des managers.
Vous l’aurez compris. Il vous faudra penser un plan de communication global, sur l’avant, le pendant et l’après-formation, et mobiliser les bonnes ressources, au bon endroit, au bon moment.
Ne pourrait-on pas imaginer pour une campagne de sensibilisation à la cybersécurité un marketing expérientiel, qui consisterait à piéger gentiment les collaborateurs ? Imaginez qu’on laisse trainer une centaine de clés USB dans l’entreprise. Les collaborateurs s’en empareraient très certainement, et à l’ouverture, ils découvriraient un fichier leur étant personnellement destiné, leur expliquant que ce geste de prendre une clé USB non validée par le groupe nuit à la sécurité informatique, et qu’ils auraient bien besoin de suivre la nouvelle formation à la cybersécurité et à la protection des données. Ce type de marketing expérientiel peut très bien être utilisé autant en amont que pendant la formation. Capitalisez sur vos démarches, et renforcez le positionnement de la reine en déplaçant la tour. Agrémentez ce petit piège par une campagne d’affichage du type "Alors, vous aussi vous vous êtes fait piégés ?", jouez avec votre communauté d’apprenants, faites-les réagir pour qu’ils deviennent acteurs de leur parcours.
Le projet BYtubES, imaginé pour Bouygues Énergies et Services, est un parcours de formation en lui-même innovant puisque ce sont les collaborateurs qui délivrent le contenu théorique pour leurs collègues moins aguerris, et qui en deviennent simultanément les ambassadeurs.
Le principe ? Munis d’une go-pro, les compagnons se filment sur le terrain pour montrer des gestes techniques et expertises métiers. Ces vidéos, retravaillées ensuite par nos designers graphiques, sont déposées sur une plateforme entièrement dédiée, un YouTube façon Bouygues Énergies et Services. Notons en passant que le nom BYtuBES fait d’ailleurs référence au nom du groupe, avec les 4 majuscules (BY pour Bouygues, et ES pour Énergies et Services), ainsi qu’à la célèbre plateforme de vidéos.
Et si partager ses connaissances est déjà valorisant pour ceux qui se sont prêtés au jeu, la cerise sur le gâteau a été la remise des prix organisée par notre équipe lors des BYtubES Awards.
Un festival de Cannes où les compagnons avaient troqué leurs casques de chantier pour des smokings, et où le fruit de leur travail était mis en avant sur écran géant. La force de cet événement réside dans la valorisation des collaborateurs terrain (les compagnons). Par cette expérience hors du commun, c’est aussi l’appartenance au Groupe qui a été renforcée.
Capitalisez au maximum sur vos actions pour renforcer leurs forces. Les professionnels des échecs en ligne l’ont d’ailleurs bien compris en surfant sur l’engouement du Jeu de la Dame : un mois après la sortie de la série, le site Chess.com a lancé une nouvelle fonctionnalité en donnant la possibilité à ses utilisateurs de jouer contre Beth Harmon, le personnage principal de la série.
« On avait déjà pris l’habitude de créer des robots à l’effigie de certains joueurs ou personnalités connues des échecs. Quand on a vu le succès de la série, on s’est dit qu’il fallait qu’on en fasse un inspiré de Beth Harmon. Qu’on aurait tort de ne pas jouer avec ce phénomène culturel. D’ailleurs le succès est incroyable, des centaines de milliers de joueurs ont déjà fait des parties contre elle. » (Nick Barton)
N'hésitez pas, vous aussi, à vous emparer d’un succès, d’une mode ou d’un usage pour faire parler de votre formation. Les tendances sont comme un air de société, l’esprit d’un moment, elles évoquent implicitement les besoins des individus. En combinant les tendances sociétales aux besoins opérationnels de vos collaborateurs, vous mettez toutes les chances de votre côté pour réussir le marketing de vos prochaines formations.
Et avant de vous plonger dans l’un des prochains articles sur les tendances 2022, observez votre entreprise, son fonctionnement, ses couleurs, son lexique… des tendances y sont à l’œuvre sans que vous ne vous en rendiez compte, puisqu’elles font partie de l’ADN de votre groupe. Décryptez vos usages internes, et jouer avec eux. L’impact de votre communication gagnera en efficacité, car elle sera compréhensible immédiatement, en faisant référence implicitement à l’esprit de votre entreprise.
Si la série « Le jeu de la dame » diffusée sur une des plus grandes plateformes de streaming a contribué à rebooster les ventes d’échiquiers, c’est parce que le personnage de Beth, aussi glamour que tourmenté, a rénové la vision surannée que l’on se faisait des jeux d’échec.
Imaginez un peu si les fabricants de jeux d’échecs avaient eu cette idée géniale de créer une série pour promouvoir leur produit. On n’aurait pas rêvé meilleur marketing pour susciter l’envie et l’adhésion.
Cette mini-série, « The Queen’s Gambit », a de quoi inspirer les responsables formation qui peinent à engager leurs collaborateurs. Car oui, le marketing de la formation est tout aussi important que la phase de conception. Vous en doutez encore ? Vous pensez que c’est perdre du temps et de l’argent que de réfléchir à une stratégie globale en amont, que marketer vos formations comme on « markète » une tablette de chocolat ne fait pas partie de vos missions ou de vos priorités ? C’est oublier que le chocolat fait l’unanimité, et que les formations que vous proposez ne promettent pas forcément des moments d’aussi grande félicité que ces carrés fondants.
Soyons réaliste. La formation en entreprise peut parfois être perçue comme ces jeux d’échecs, un peu rébarbative, et peu engageante. C’est pourquoi, comme aux échecs, il convient de mener une vraie réflexion en amont et de bâtir une stratégie pour gagner la partie.
Si l’on ne donne pas envie, seul un certain nombre de bons élèves consciencieux se connecteront pour suivre une formation que vous aurez mis des semaines, voire des mois à bâtir… Ne nous voilons pas la face. Les collaborateurs font face à une offre de plus en plus grande de formations, qu’ils doivent en plus intégrer dans des agendas bien remplis, et des sollicitations tous azimuts (Microsoft Teams, Slack, visio, mails…). Il faut attirer leur attention et attiser leur curiosité.
Pourquoi ne pas profiter d’événements internes ou calendaires pour faire la promotion d’une formation ? Le marketing calendaire a cet avantage de faire sens en inscrivant la formation dans une thématique. C’est le choix qu’a fait le groupe Carrefour en organisant tous les ans un événement présentiel lors de la journée de la cybersécurité.
L’objectif est de sensibiliser le maximum de collaborateurs à la protection des données, non pas en leur imposant une formation, mais bien en faisant venir la formation à eux, par le biais d’un storytelling réaliste dans lequel ils ont été immergés physiquement et en temps réel. Pour un tel événement qui s’est joué en simultanée sur 8 sites du groupe, le marketing et la communication étaient essentiels.
Immergés dans le quotidien de ceux qui œuvrent pour la sécurité informatique, les collaborateurs ont été conquis par ce format impactant, dont ils étaient les acteurs pendant quelques heures.
De la même manière qu’avant de commencer une partie d’échecs il convient d’organiser un plan de bataille, de tracer les grandes lignes de la partie, et de déterminer le type d’approche que l’on va adopter, avant de commencer une formation, il convient de créer un plan de communication, d’en tracer les grands jalons, de déterminer les besoins, les freins et les contraintes pour adapter l’approche et l’orientation que l’on va donner à notre communication pour susciter l’envie et l’engagement des collaborateurs.
Comme sur un échiquier, vous aurez plusieurs pièces à votre disposition pour gagner la partie et faire adhérer les collaborateurs aux formations que vous proposerez. C’est là qu’interviendra non plus le côté stratégique, mais bien le côté tactique de la partie. Il vous faudra choisir les bonnes pièces et utiliser leurs atouts respectifs, pour servir les objectifs que vous vous serez fixés.
Et pour favoriser la motivation de vos collaborateurs, il vous faudra analyser leurs besoins comme un joueur d’échec analyse la stratégie de son adversaire. Adopter une démarche user-centric est un prérequis indispensable pour adapter votre communication, trouver les bons leviers, les meilleurs canaux, cibler les besoins, les freins et les contraintes.
Offrir un manteau à un ours polaire ne lui sera pas de grande utilité.
Vos meilleurs alliés seront les apprenants à qui est destinée la formation, ainsi que leur manager ou chef d’équipe, qu’il vous faudra embarquer pour qu’ils deviennent de véritables ambassadeurs. Vous pourrez faire la plus belle formation du monde, mais si elle n’est pas adaptée aux collaborateurs, il sera difficile de susciter leur adhésion. C’est pourquoi le monde de la formation a tout à gagner à s’inspirer des méthodologies des designers dont la démarche est clairement orientée utilisateur.
Prenons 3 étapes du design thinking : idéation, prototypage et itération. Si dans un premier temps, vous aurez à imaginer des réponses concrètes aux besoins de formation de vos collaborateurs en vous basant sur les observations que vous venez de faire (ce qui suppose d’y intégrer les utilisateurs finaux, d’enquêter), vous pourrez ensuite créer un prototype qui permettra de tester auprès d’eux l’impact réel de ce que vous avez conçu. Viendra enfin la phase d’itération qui vous permettra d’améliorer le prototype pour l’adapter au mieux aux attentes et besoins des collaborateurs, tant du point de vue de l’expérience utilisateur que de l’impact plus subjectif du storytelling ou de la direction artistique choisie.
C’est peut-être parce qu’il s’inscrit dans une démarche de recherche que l’Institut Védécom a pris le temps de faire tester le digital learning que nous avions co-conçus avec eux. L’atelier mis en place a permis de récolter des retours à tous les niveaux : UX, graphisme, ergonomie, expertise… ce qui nous a permis d’itérer pour obtenir une version finale adaptée à leur cible.
Croire que le marketing de la formation a pour seul cadre la communication est un leurre. Il suppose un prérequis essentiel : la démarche orientée utilisateur. Connaître sa cible, créer un persona (voilà encore un autre outil issu du design) est une tactique imparable qui vous assurera de trouver les canaux les plus impactants pour susciter l’adhésion.
C’est accorder de la valeur à l’autre que de lui offrir une offre de formation adaptée, qui vient à point nommé pour le faire évoluer. C’est lui montrer que ce que l’on conçoit est fait pour lui, que l’on travaille pour lui donner envie, pour susciter sa motivation et l’engager dans un dispositif adapté et motivant.
L’autre bénéfice apporté par le marketing de la formation est la valeur qu’il crée, autour de la formation bien sûr, mais aussi d’un point de vue plus global en rejoignant la stratégie d’une entreprise et le développement des compétences des individus qui la composent. Le marketing de la formation ne peut être décorrélé des orientations de l’organisation. Il crée du lien entre formation et entreprise, mais aussi entre collaborateurs. Un marketing de la formation bien mené a cette capacité à fédérer autour d’un projet, d’une aventure, d’une expérience commune. Il est une déclinaison de la proposition de valeur d’une entreprise.
En ce sens, le marketing de la formation valorise les actions menées par les responsables RH, donne du sens aux collaborateurs par rapport aux orientations stratégiques de l’entreprise.
On a tendance à oublier ce bénéfice secondaire que peut apporter la formation en créant du lien entre les personnes. Pourquoi alors ne pas « roquer » et faire d’une pierre deux coups en créant un format qui challenge les collaborateurs en même temps qu’il les fédère ?
C’est le pari pris par le groupe Mazars, pour susciter l’engagement de ses collaborateurs dont la moyenne d’âge est de 28 ans avec sa « Mazars Race » : cette web application compétitive, d’une durée de 10 jours, challenge les participants sur les 10 règles mises en place par le groupe en matière de sécurité de l’information. Outre l’aspect ludique de l’application, une course de vaisseaux spatiaux avec un gros méchant à vaincre (ça c’est pour l’aspect collaboratif) et le bonheur de voir sa progression dans le leaderboard, ou la satisfaction de remporter des lots pour ceux qui seront en tête du classement, c’est bien aussi le côté viral qui a fait mouche. En dehors de ces 10 minutes journalières, les collaborateurs avaient plaisir à échanger à la machine à café sur l’avatar qu’ils avaient choisi, sur leurs réponses aux questions et à se challenger sur leur classement. De là à dire que cette web app’ était addictive, on n’en est peut-être pas très loin… quand on sait que certains s’y connectaient dans les transports en commun.
Si le marketing de la formation sert à embarquer les collaborateurs en amont d’un projet, il ne doit pas s’arrêter à cette seule temporalité. Faire vivre la formation pendant et après est aussi important pour faire le buzz, animer la communauté des apprenants/participants et in fine pour évaluer, améliorer et valoriser le parcours suivi. Ainsi, l’utilisation d’une web application offre dans son format l’opportunité de faire vivre la formation à l’instant T, de faire parler d’elle et de continuer à créer l’engagement présent, qui permettra de capitaliser cet engouement sur les prochaines formations proposées.
N’hésitez pas à découvrir les coulisses de la Mazars Race. Article, podcast, livre blanc… autant d’outils mis à disposition du client pour continuer à valoriser sa formation à travers un marketing multicanal.
Encore trop peu maîtrisé par les équipes formation des entreprises, le marketing de la formation est le nouveau challenge auquel ils vont devoir s’atteler pour engager les collaborateurs dans une offre de formation toujours plus grande.
Dire qu’une formation est désormais en ligne n’est plus suffisant. Il faut susciter l’intérêt, faire sortir le collaborateur de son quotidien professionnel pour l’engager dans une partie passionnante, et créer une aventure collective où montée en compétences et cohésion se croisent pour servir les besoins professionnels des salariés et les orientations opérationnelles et stratégiques de l’entreprise.
Créateur de valeur, le marketing de la formation l’est donc assurément. Encore faut-il maîtriser le déplacement des pièces, choisir les bonnes ouvertures, développer son style et la bonne stratégie. L’entreprise est comme l’échiquier sur lequel vous allez jouer de nouvelles parties, et les pièces vos alliés et moyens dont vous devrez savoir tirer parti.
Tout un programme… mais n’ayez pas d’inquiétude. Bientôt la stratégie échiquéenne de la formation n’aura plus de secret pour vous. Accédez à la partie 2 en cliquant ici.
Une nouvelle étude de cas signée My-Serious-Game, à découvrir en cliquant sur le bouton ci-dessous :
Beatriz Palaric (Directrice de la Formation France du Groupe Mazars) et Pauline Aspect (Cheffe de Projet chez My-Serious-Game) nous présentent dans ce nouveau podcast des Digital Learning Makers la "Mazars Race", une appli mobile pour former les nouveaux arrivants du Groupe aux bonnes pratiques en matière de cybersécurité.
Ludique, compétitive et collaborative (on parle d'une course de vaisseaux spatiaux !), cette formation numérique a remporté à la fois l'adhésion des collaborateurs et un Trophée pour "l’originalité du dispositif pédagogique déployé pour faire face à un défi contemporain" !
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Chercheurs et passionnés de Serious Games se sont donnés rendez-vous en Suisse pour cette sixième édition du symposium sur la gamification !
Le Gamification & Serious Games Symposium 2021, dont la sixième édition a eu lieu la semaine dernière à Lausanne, s'est déroulé sur cinq jours et a rassemblé cette année des intervenants de Suisse, des Etats-Unis, d'Australie, de Belgique, de Grèce, du Maroc, du Royaume-Uni et de France. My-Serious-Game a eu l'honneur de recevoir une invitation à présenter ses solutions lors d'une keynote prévue le jeudi 8 juillet 2021. Dédiée aux serious games dans la santé, cette journée s'intégrait dans une semaine riche en interventions sur des sujets aussi variés que l'utilisation des Serious Games dans l'éducation, l'urbanisme ou encore l'économie.
Perchée au-dessus du Lac Léman, la ville de Lausanne offre des vues splendides et dès notre arrivée, nous ne résistons pas à l'envie de découvrir ses rues animées (jour de match oblige - mais nous ne mentionnerons pas dans cet article le funeste France-Suisse) et la culture gastronomique locale. L'architecture imposante fourmille de détails (gravures, ornements...) et la propreté des larges avenues escarpées ferait rougir tout Français. La Suisse, outre ses panoramas à couper le souffle, dégage une impression de sécurité et de sérénité. Y circuler est un jeu d'enfants, la richesse de l'offre de transports en commun n'ayant d'égale que leur ponctualité ! Malgré tout, nos amis suisses se font taquins à notre arrivée au Symposium (un amphithéâtre au cœur de l'Institut et Haute École de la Santé "La Source") : "on a failli attendre les Français !"
La première présentation de la journée est des plus intéressantes : reposant sur un développement Unity et l'Hololens 2, une simulation VR / AR propose de s'entraîner à effectuer un accouchement d'urgence dans un avion... Hautement technologique, et pratique (on ne sait jamais) ! Au fil de la journée, nous découvrons des projets menés aux quatre coins du monde, comme un serious game 3D pour la stimulation cognitive des personnes âgés ou un RPG pour sensibiliser au quotidien un jeune souffrant d'épilepsie. Nous décortiquons les résultats de recherches sur l'intelligence émotionnelle ou encore l'impact de la gamification dans la conduite d'un entretien en face-à-face sur un sujet aussi intime et inconfortable que l'usage des toilettes...
Après chaque intervention, l'exercice habituel des questions du public (aussi bien dans l'assistance qu'en ligne, puisque l'événement est retransmis en direct sur Youtube) donne lieu à des débats passionnants et passionnés. Un membre de l'audience, visiblement techno-sceptique (d'ailleurs venu présenter un jeu de plateau), s'interroge ainsi quant à l'intérêt d'utiliser des solutions digitales pour former - simple gadget ? Coûteux ? Réellement efficace ?
La réponse est sans appel, et développée pendant plus d'un quart d'heure. Quatre idées majeures sont à retenir de la réponse formulée par l'intervenant et co-organisateur de l'événement, le professeur Yassin Rekik, à l'écoute desquelles nous ne pouvions qu'acquiescer avec conviction, puisque nous défendons continuellement les mêmes arguments :
- Non, ça ne coûte pas toujours plus cher de former grâce au digital, et dans de nombreux cas, c'est même une évidence économique. À partir d'un certain nombre d'apprenants, le formateur réalise des économies d'échelle importantes, car il est bien plus intéressant de déployer une formation digitale à des milliers d'apprenants que d'entraîner de petits groupes ou individus en présentiel sur du matériel coûteux (mannequins, équipements médicaux...). La formation est également vite rentabilisée si elle peut être déployée année après année...
- D'autre part, et c'est particulièrement vrai dans la santé, la simulation virtuelle permet de créer des situations et scénarios impossibles à mettre en scène physiquement, ou qui présenteraient un risque aussi bien pour l'apprenant que pour son patient. C'est d'ailleurs la devise des formateurs en IFSI (Instituts de Formation en Soins Infirmiers) qui nous ont aidés à développer IFSImulation : "jamais la première fois sur le patient". L'étudiant infirmier est libre d'expérimenter et de se tromper, sans aucune conséquence sur le matériel ou pire, sur un sujet humain.
- Nous devons nous adapter aux usages des nouvelles générations d'apprenants. Elles sont non seulement de plus en plus à l'aise avec l'outil numérique, mais n'envisagent même plus une formation sans technologie. Il devient essentiel de créer des formations courtes, impactantes, interactives et immersives pour non seulement favoriser la rétention d'informations, mais également capter et maintenir l'attention des apprenants, tout en leur laissant la liberté d'apprendre à leur rythme.
- Enfin, un point important dont nous avons également fait le constat : il est nécessaire de faire progresser la tech coûte que coûte, aussi futile que certaines innovations puissent paraître. Combien de technologies "gadget" sont devenues cruciales pour maintenir une activité professionnelle pendant la crise Covid19 ? Des solutions futuristes qui n'en sont qu'à leurs premiers balbutiements ne peuvent-elles pas être les clés de la formation ou de la communication à distance de demain ?
Ces doutes levés (en tout cas, nous l'espérons), c'est donc face à un public bien préparé que notre consultante Aurélie Turot a présenté différentes solutions que My-Serious-Game a déployées dans le domaine de la santé. Nous ne pouvions bien évidemment pas faire l'impasse sur IFSImulation, notre produit santé phare et l'une des simulations les plus ambitieuses que nous ayons produites. Laissant l'étudiant infirmier en totale autonomie dans un hôpital entièrement modélisé en 3D, l'apprenant doit étudier les dossiers patients, réaliser puis administrer les prescriptions médicales (en prenant garde aux éventuels effets secondaires), communiquer aussi bien avec les malades qu'avec le personnel soignant, et faire un suivi du traitement en bonne et due forme. Chaque action est enregistrée et finement analysée pour un débriefing avec le formateur à l'issue de chaque session, faisant d'IFSImulation un outil d'apprentissage par la pratique immersif et très efficace, aujourd'hui déployé dans de nombreux IFSI.
Aurélie a choisi de conclure sa présentation par deux autres cas pratiques : le serious game en 2D Cap Onco, des modules gamifiés en adaptive learning qui forment les pharmaciens au bon discours et à la bonne posture à adopter face aux malades du cancer, et la formation en réalité virtuelle "Premier Pas" développée pour l'Académie de Rouen et à destination des aides-soignants. Si vous souhaitez découvrir d'autres projets, n'hésitez pas à faire un tour sur notre page santé !
La journée s'achève avec une surprise de taille : un superbe bateau à vapeur Belle Époque avec roues à aubes, sur lequel nous dégustons un somptueux et copieux dîner ! Nos hôtes ont mis les petits plats dans les grands pour ravir leurs invités, et nous passons une soirée inattendue et très conviviale sur le lac Léman, en compagnie d'une vingtaine d'experts de la gamification. Les débats se prolongent ainsi tard dans la nuit, dans une atmosphère décontractée et un cadre idyllique.
Si les organisateurs du Gamification and Serious Games Symposium continuent sur leur lancée, leur organisation millimétrée, la richesse des interventions et leur hospitalité feront assurément de leur événement un rendez-vous incontournable pour tous les acteurs du Serious Game européens !
Il y a plus d’un an, My-Serious-Game lançait EdMill, l’outil e-learning qui a pour vocation d’inclure les experts métiers dans la création de formations 100% digitales. Aujourd’hui, l’initiative est récompensée et reconnue par des experts du secteur et des utilisateurs ultra-satisfaits, prêts à recommander la plateforme.
Retraçons ensemble les dernières belles réussites de cet outil très prometteur pour l’EdTech !
En janvier dernier, nous fêtions le premier anniversaire de son inauguration dans les bureaux de Microsoft France. L’occasion de revenir en vidéo sur les moments forts de l’outil, sa certification AFNOR mais aussi d’annoncer une grande nouvelle...
L'anniversaire d'EdMill, l'outil Digital Learning de My-Serious-Game, qui rejoint Microsoft Teams
Avec le soutien sans faille du programme Microsoft for Startups, EdMill s’intègre depuis peu dans la plateforme incontournable de la collaboration interne, Microsoft Teams.
Une intégration portée par les ambitions d’EdMill :
Des points qui sont abordés plus en détails dans cet article ou dans leur communiqué de presse.
À la suite de cette intégration, EdMill a été rapidement remarqué, notamment par le Teams App Dev Challenge organisé par Devpost. Un concours qui a permis à l’outil e-learning de se distinguer comme la Meilleure Application dans la catégorie Education de Microsoft Teams !
Une collaboration avec Microsoft qui aura aussi valu à EdMill plusieurs coups de projecteurs dans les médias spécialisés de l’EdTech, dont EdTech Actu & RH matin.
Après ces belles retombées, EdMill met désormais à l’honneur ses utilisateurs, en mettant en avant sur son site ses cas clients. L’occasion de démontrer l’expertise de l’outil pour répondre à chaque problématique de formation et de convaincre les plus sceptiques de sauter le pas vers la Révolution Numérique.
Pour lancer cette belle série, qui va s’enrichir au fil du temps, EdMill a décidé de mettre en avant un acteur incontournable des résidences pour séniors, Domitys, qui a pu partager son avis sur la solution digitale et son utilisation au quotidien pour former ses collaborateurs présents partout en France.
Un contenu à découvrir juste ici, ou grâce à leur vidéo ci-dessous !
Comment le Crédit Agricole a-t-il formé et sensibilisé à distance ses collaborateurs sur les risques liés au piratage et à la sécurité des datas ? Dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers, nous parlons de l'EdTech au service de la cybersécurité avec Franck Poli (Chief Information Security Officer au Crédit Agricole Consumer Finance), Sandy Dussottier (Information Security Officer au CACF) et Axel Malescassier (Chef de Projet à My-Serious-Game).
Revivez le webinaire du 10 juin 2021, animé par des cadres de santé formateurs et référents e-formation souhaitant partager leur retour d'expérience et leur vision pédagogique le temps d'une rencontre.
"Intégrer un outil de simulation virtuelle dans son IFSI : avantages et limites". Cette période si particulière a conduit à des changements sans précédents dans les établissements, avec notamment un virage vers le numérique sans accompagnement ni formation.
Les IFSI n'y ont pas échappé et ont dû se repenser. Parmi ces changements, la simulation virtuelle s'est particulièrement développée, amenant les directeurs et cadres de santé à intégrer cette nouvelle modalité.
Pour autant, la simulation virtuelle permet-elle de répondre aux mêmes objectifs pédagogiques que la simulation réelle ? Comment s'intègre-t-elle dans les programmes ? Quelles sont ses limites ? Voici quelques questions qu'ont abordé nos intervenants.
Contactez-nous via le formulaire ou directement par email à : axel.m@my-serious-game.com
« Jamais la première fois sur le patient ». C’est à cet enjeu majeur de la formation de nos infirmières et infirmiers de demain que répond IFSImulation : la première simulation virtuelle plongeant les infirmiers au cœur d’une situation réaliste en pharmacologie, pour un apprentissage par la pratique.
Ce jeudi 5 juin, Yannig Raffenel, président de Edtech France, William Peres, PDG de Serious Factory, Quentin Surtel, consultant en conduite du changement chez Open, et Frédéric Kuntzmann, PDG de My Serious Game, se sont penchés sur la réalité virtuelle qui pourrait devenir le moyen de se former du futur dans l'émission Tech RH présentée par Alexia Borg. Tech RH est à voir ou écouter le samedi sur BFM Business.
Pour voir l'interview (celle de Frédéric Kuntzmann démarre à 15:10) :
Le défi du digital learning aujourd’hui estd’aboutir à un état de l’art, permettant un partage de bonnes pratiques et un référentiel qualité. Indispensable avec l’accélération du digital quenous connaissons, et cela ne s’arrêtera pas dans laformation comme le confirme la dernière étude deLinkedIn : moins de la moitié des PDG (41% seulement) dispose des compétences nécessaires pourmener à bien leur stratégie, et la priorité partagéepar 59% des L&D au monde concerne l’Upskillinget le Reskilling.Une compétence voyant sa durée de vie toujours plusraccourcie, le digital learning devient un allié de plusen plus puissant. Partageons quelques idées qui jel’espère seront inspirantes !En formation présentiel, qu’apprécions-nous le plus ?Les échanges avec le formateur, son témoignage,l’observation des autres, la collaboration ou la compétition, se tester et expérimenter…Et comment apprenons-nous ? Par tout cela, et avecun sachant qui s’adapte au groupeet autant que possible à chacun desparticipants. Il pourra même utiliserdes techniques de pédagogie inversée, de mise en pratique, de gamification ou d’émotion pour faciliter labonne mémorisation des connaissances (non, ce ne sera pas avec lePDF remis en fin de formation, quine sera jamais lu…).Si jusqu’ici nous sommes alignésalors peut-être sauriez-vous m’aiderà répondre à cette question : pourquoi le digital-learning ne s’inspiretoujours pas de cette belle recette ?
Lire la suite de l'article (page 217) :
Entretien avec Anne-Charlotte Monneret, DG de l'association Edtech France, à l'occasion de la sortie d'une cartographie rassemblant tous les acteurs du Digital Learning français (disponible à partir de ce jeudi 20 mai) : on en profite pour faire un tour des forces en présence, des tendances, et on prend de la hauteur en étudiant le marché à l'international !
Une conférence exclusive avec Microsoft et My-Serious-Game dans le cadre du salon digital Learning Technologies 2021 !
Dans le cadre d'une conférence exclusive pour le Learning Technologies 2021, My-Serious-Game et son partenaire Microsoft ont livré leurs regards croisés sur les clés de la transformation digitale des organisations : comment maintenir le lien entre ses équipes, renforcer l'engagement ou encore favoriser le développement de nouvelles compétences incontournables pour répondre aux challenges d'aujourd'hui et de demain.
Frédéric Kuntzmann est le dirigeant et co-fondateur de My-Serious-Game. Sa conviction profonde est qu’il faut accompagner autrement l’humain dans l’entreprise, pour le succès de celle-ci, comme pour l’épanouissement professionnel du collaborateur. Il saisit les attentes de demain et y répond avec son équipe par la création de formations, de jeux sérieux, tout en plaçant l’humain au cœur de ses projets. Séverine Guilliet, directrice du MTC Microsoft, nous parle quant à elle de la plateforme Teams, qui est passée de 44 millions d’utilisateurs au début de la pandémie à 115 millions en octobre dernier ! L'outil EdMill de My-Serious-Game vient d'être intégré à la solution de Microsoft, et a même reçu le prix de la meilleur application Teams dans la catégorie éducation.
Découvrez l'intégralité de cet échange dans la vidéo ci-dessous :
Pour en savoir plus sur certaines sujets abordés pendant la conférence :
L'étude de cas sur les Laboratoires Servier, qui ont pu former leurs 22 500 collaborateurs à distance sur le feedback, élément crucial d'une bonne communication interne, grâce à un parcours digital dont tous les secrets vous sont révélés dans un livre blanc disponible gratuitement juste ici !
Pour en savoir plus sur l'outil EdMill, disponible dans Teams : https://www.edmill.com
Une nouvelle étude de cas signée My-Serious-Game, à découvrir en cliquant sur le bouton ci-dessous :
My-Serious-Game a réalisé pour le Groupe pharmaceutique Servier un parcours de formation digitale pour intégrer la culture du feedback parmi ses collaborateurs. Grâce à un elearning en motion design, des films montrant de bons et de mauvais exemples, divers quizzes évaluatifs et des challenges à réaliser dans son environnement de travail, un véritable changement a eu lieu chez Servier suite au lancement du programme en septembre 2020 (avec un taux de participation de près de 85% sur les 22500 collaborateurs du groupe !). Julien Migeon (HR Business Partner du Groupe Servier) et Aurore Xavier (cheffe de projet My-Serious-Game) nous livrent les clés de ce succès dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers !
E-learning, serious game, immersive learning, applications… une centaine de projets est développée chaque année par cette start-up née en 2014, devenue un acteur européen. Sa nouvelle offre, EdMill, répond aux sociétés souhaitant créer elles-mêmes leur solution de formation. Entretien avec Frédéric Kuntzmann, dirigeant-fondateur.
Pour lire la suite de l'article :
Depuis les années 2000, l’arrivée du digital a non seulement bousculé le fonctionnement des entreprises, mais également celui de nos contemporains. Les pratiques professionnelles et personnelles ont beaucoup évolué en entrant dans “l'ère du numérique”.
Cette révolution silencieuse s’est brusquement accélérée lors de la crise sanitaire mondiale récente. La quasi-généralisation du télétravail par exemple a modifié à la fois nos comportements professionnels au quotidien et fait évoluer la perception que chacun d’entre nous avait du monde de la tech. Les entreprises, elles, pendant cette même période, ont plus que jamais dû faire preuve d’agilité et d’efficience pour maintenir leur activité. Ceci a supposé notamment de revoir leur hiérarchie de priorités et de placer rapidement leur digitalisation au premier rang de celle-ci. Une conséquence inattendue de ces évolutions est le développement d’une importante dynamique numérique à travers le monde et plus particulièrement en Europe et sur le territoire hexagonal.
Selon Ursula Von der Leyen, la Présidente de la Commission Européenne, la pandémie mondiale a servi de “catalyseur de l’innovation”. Lors de sa conférence inaugurale du Web Summit 2020, elle a ainsi observé que la valeur des entreprises technologiques européennes avait augmenté de près de 50% en 2020, une évolution incontestable depuis le Web Summit 2019. La demande dans le champ du numérique est donc aujourd’hui une réalité à large échelle.
En France, la réponse à cette attente concerne de nombreux acteurs. On oublie en effet trop souvent que le territoire national est l’un des principaux berceaux de startups dans le domaine de la tech. La French Tech est aujourd’hui mondialement reconnue et constitue un des piliers de notre économie, portée par des réseaux d’ambassadeurs puissants comme ceux à l’origine du Tech For Good France. Les innovations dans ce domaine se multiplient chaque jour.
Douze innovations majeures dans le domaine de l'éducation ont ainsi été mises en lumière par l’INPI récemment. Solainn, la marketplace des solutions numériques de France, a, elle, recensé et cartographié sous forme d’arborescence 150 entreprises du numérique français par domaine de compétences afin de répondre aux besoins et usages des organisations de l’hexagone.
L’entreprise My-Serious-Game (MySG), créée en 2014 par Frédéric Kuntzmann, occupe actuellement dans le champ de la formation digitale sur-mesure la place du numéro 1 français. MySG a, dès son origine, anticipé la ruée vers le numérique qui s’est amplifiée quelques années plus tard et a révolutionné le monde de la formation. MySG, aux côtés d’autres entreprises innovantes telles que Glowbl, à l’origine d’une tribune en faveur du numérique à large écho sur les réseaux sociaux, a bouleversé les codes de la Edtech en facilitant l’apprentissage et la montée en compétences de centaines d’apprenants, tous secteurs confondus.
À ce jour, MySG porte haut le drapeau des solutions numériques “Made in France”. Son engagement actif dans des communautés professionnelles aspirant à faire de la France le hub des startups du numérique, comme France Digitale, la première communauté tech française et européenne, ou Edtech France, association regroupant les startups françaises spécialistes de la formation numérique, la place à l’avant-garde de ce mouvement. MySG, à ce titre, fait partie des 130 startups identifiées dans le radar Digital Workplace de Wavestone en 2020.
Dans l’écosystème de la région Centre-Val-de-Loire, l’entreprise MySG est particulièrement présente notamment au travers de la French tech Loire Valley, une communauté regroupant les acteurs du numérique sur ce territoire et lors d’événements tels que les Human Tech Days.
MySG incarne aujourd’hui une véritable success story entrepreneuriale à la française.
Suite à sa conférence "Digitalisation, télétravail, communication interne, cybersécurité... Des solutions concrètes et efficaces pour s'adapter à une situation inédite" présentée au salon eLearning Expo 2020 (plongé en pleine crise sanitaire), Frédéric Kuntzmann (CEO de My-Serious-Game) nous livre un entretien exclusif en direct. Nous débattons ensemble de multiples sujets en live avec des internautes sur Youtube : les nouveaux défis liés à la crise covid, l'impact du télétravail sur le digital learning, l'importance des soft skills ou du storytelling, l'avantage du "sur mesure" par rapport au "sur étagère", et bien d'autres sujets d'actualité !
Clôturons (enfin) notre série spéciale Covid-19 avec la deuxième partie des témoignages de responsables RH et formateurs face au coronavirus. 5 mois après notre premier entretien, Eric Gex-Collet (DGA du Groupe Aesio) et Karine Letellier (formatrice indépendante / Piu Forte) vont nous confier comment s'est déroulée cette période de crise, s'ils ont réellement mis en place les solutions digitales imaginées pour parer au confinement et à une baisse d'activité, et comment ils envisagent la suite, au moment où se profile une probable seconde vague...
Vous l'avez compris au fil de nos précédents podcasts et vous en êtes témoins : la crise liée au Covid19 a un impact important sur le monde de la formation professionnelle... Les formateurs souffrent, pourtant les salariés ont plus de temps pour se former et souhaitent par ce biais répondre à leurs incertitudes face à l'avenir : en effet, la compétence est plus que jamais un atout clé pour sortir de la crise.
Alors quid des réformes de la formation ? Avec nos 4 invités que sont Johann Vidalenc (Demos), Pierre Monclos (Unow), Pierre Courbebaisse (FFP) et Philippe Bourdalé (AFNOR Certification), nous allons parler loi "avenir professionnel", prise en charge de la formation à 100% par le gouvernement, report de la certification Qualiopi à 2022 et aides à la digitalisation des organismes de formation, entre autres sujets brûlants.
Où en est la réforme ? Comment s'y préparer ? Sur qui se reposer ? A quoi ressemblera le cadre règlementaire post-covid ? Toutes les réponses dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers !
Donnons la parole à ceux qui sont en première ligne à lutter contre le coronavirus : ont-ils été préparés à ce combat et le digital a-t-il pu accélérer ou rendre plus efficace la formation, parfois en urgence, du personnel soignant ? Le docteur Alexandre Gros (CHU de Bordeaux), Nathalie Alglave (CHU de Nantes) et Pauline Scouarnec (CHU de Brest) nous donnent des éléments de réponse dans ce podcast spécial des #DigitalLearningMakers !
Un épisode plus long que d'habitude, mais comment traiter succinctement de la crise qui secoue le monde et son impact sur les usages du Digital Learning ? Développons le sujet avec Hervé BORREDON de l'AFINEF, Stéphane DIEBOLD de l'AFFEN et Cyril VART du groupe Fabernovel. Des invités qui n'ont pas leur langue dans leur poche, et qui ne manqueront pas de vous faire réagir: #DigitalLearningMakers ou vos commentaires pour participer à nos échanges !
Comment la crise Covid change-t-elle les habitudes des formateurs, et quels conseils pour réussir sa formation 100% à distance, que ce soit du point de vue du formateur ou de l'apprenant ?
Nous étudions la question sous l'angle "enseignement", avec l'intervention de Cecile CATHELIN, professeur de lycée à l'origine de l'association Héraclion et de Clapotee (plateforme de microlearning en podcasts), puis nous retournons dans la sphère professionnelle avec Cyrille REVEAU (Cabinet Empulsion) et Mathilde ISTIN (institut de formation ISTF).
TOURS (37). My Serious Game, leader français de la formation digitale basé en Touraine, offre l'accès à ses outils de RH jusqu'à fin avril. Un coup de pouce qui tombe à pic pour nombre d'entreprises dont les salariés en télétravail peinent à s'organiser.
Pour lire la suite de l'article :
Comment l'activité des RH et formateurs est-elle impactée par la crise Covid-19 ? Quelles solutions mettent-ils en place ? Quelles sont leurs perspectives d'avenir ?
Eric Gex-Collet (DGA du Groupe Aesio), Karine Letellier (formatrice indépendante / Piu Forte) et François Bée (Directeur Performance Industrielle chez Chryso) parlent "à chaud" et en toute transparence de leur expérience dans cette "Partie 1". Dans une seconde interview à J+90, nous leur demanderons si les mesures mises en place ont porté leurs fruits... à suivre !
Yannig Raffenel (président du Cluster EdTech France Grand Ouest), Thomas Pons (directeur marketing de l'agence Sydo) et Florent Teyras (Learning & Quality Manager chez My-Serious-Game) sont les invités de ce premier podcast d'une série spéciale sur le Digital Learning en temps de crise sanitaire.
Nous allons traiter ensemble de la continuité pédagogique : quelles plateformes, quelle démarche, mais aussi quels écueils éviter lorsque l'on veut s'équiper d'outils de formation digitaux ?
Nous évoquons également leurs initiatives solidaires, et "l'après" : quel sera l'impact de ce bouleversement sur l'avenir du Digital Learning ?
Comment la crise 'Covid-19' va-t-elle impacter le monde de la formation professionnelle ? My-Serious-Game tente d'y répondre avec plusieurs démarches :
En partenariat avec notre client Groupe AESIO, mutuelle de santé interprofessionnelle nationale qui partage nos valeurs humanistes et solidaires, nous avons mis gratuitement à votre disposition un module e-learning sur les bonnes pratiques du télétravail. Comme la plupart d'entre nous, vous avez probablement été confinés à votre domicile et avez des difficultés à vous organiser et vous conformer à ces nouvelles habitudes de travail.
Ce dispositif a ainsi été mis en libre accès durant toute la durée du confinement. Merci infiniment au Groupe AESIO pour cette mise à disposition gracieuse des modules que nous avions développés pour eux et qui leur étaient exclusivement destinés :
1 -Le module sur les bonnes pratiques du télétravail
2 -Le module sur les aventures du télétravailleur
3 - Le module "Managers, accompagnez les travailleurs en télétravail"
My-Serious-Game a travaillé pendant plus de quatre années au développement d’un écosystème nommé EdMill, dont le cœur repose intégralement sur notre ingénierie de formation digitale certifiée.
Désormais, consultants formateurs indépendants, organismes de formations, responsables formation grands comptes et experts métiers pourront créer leurs parcours apprenants facilement, et bénéficier du moteur de conseil intégré à EdMill pour gérer l’ensemble de leurs actions de formation digitales, et en s’assurant ainsi de bénéficier d’une qualité optimale de conception et de nombreux suivis statistiques.
Durant toute la durée du confinement, notre offre découverte gratuite et sans limite de temps a augmenté ses capacités en multipliant par 10 le nombre de comptes apprenants disponibles.
Afin de répondre à l'urgence de la formation de certains professionnels de santé, My-Serious-Game a déployé gratuitement ses solutions HealthCare (simulation virtuelle, serious game, e-learning) auprès de l'ensemble du corps médical et a mobilisé ses ressources pour assurer des productions personnalisées dans des délais optimisés.
Ça a été l'occasion d'essayer IFSImulation, la première simulation virtuelle pensée pour les Instituts de Formation en Soins Infirmiers plongeant les étudiants au cœur d’une situation 3D réaliste, pour un apprentissage par la pratique ! Déjà mis à disposition du CHU de Nantes, des étudiants de 4e et 5e année de médecine ont ainsi été formés sur nos simulateurs avant de venir renforcer les effectifs de soins infirmiers.
Autre initiative, "Premiers Pas - Apprends ta démarche" est un dispositif multimodal dédié aux aide-soignantes (Module 1 du référentiel) né d'une collaboration entre le CAFOC, l’IFAS de Pont-Audemer et My-Serious-Game. Grâce à 3 cas patients (AEG, hémiplégie, alzheimer), chacun composé d'un serious game de prise de connaissance du patient, d'un scénario de réalité virtuelle de mise en situation sur la prise en charge et d'un serious game sur les besoins fondamentaux, il permet d'appréhender et de maitriser les savoir-faire et savoir-être attendus comme pré-requis dans l'exercice du métier d'aide-soignant. Les modules ont été accessibles depuis notre plateforme LMS durant cette période de crise, sans frais et sur demande.
Le marché du Digital Learning est en crise, qu'en pensent les experts et comment analysent-ils les réactions des formateurs aux bouleversement du covid sur leurs habitudes ?
Un épisode plus long que d'habitude, mais comment traiter succinctement de la crise qui secoue le monde et son impact sur les usages du Digital Learning ? Développons le sujet avec Hervé BORREDON de l'AFINEF, Stéphane DIEBOLD de l'AFFEN et Cyril VART du groupe Fabernovel. Des invités qui n'ont pas leur langue dans leur poche, et qui ne manqueront pas de vous faire réagir : #DigitalLearningMakers pour participer à nos échanges.
Besoin de conseils de notre équipe pour adapter vos projets de formation à ce contexte exceptionnel ? Rencontrez votre expert dédié.
Quels outils pour les formateurs en 2020 ? Florent Teyras (Learning and Quality Manager) et Thomas Besombes (LMS Manager) font le point sur les solutions existantes ou manquantes et passent en revue les différentes plateformes de formation pro de Rise Up, Serious Factory, Talentsoft ou encore EdMill (My-Serious-Game).
Notre Marketing Manager Alban Péan (ex-animateur des podcasts Digital Learning Makers) présente son étude de marché du Digital Learning en 2020 : les technologies émergentes, les "buzz words", les acteurs... et s'il l'accepte, les tendances à venir pour l'année prochaine !
Une nouvelle étude de cas signée My-Serious-Game, à découvrir en cliquant sur le bouton ci-dessous :
L'AFNOR a réussi à sensibiliser le grand public aux enjeux de la normalisation grâce à un Serious Game gratuit : "Le défi d'Emma". Le défi de l'AFNOR ? Vulgariser des notions complexes pour aider les inventeurs à mettre toutes les chances du côté de leurs innovations... Découvrez comment dans ce nouveau podcast des Digital Learning Makers !
À l’occasion d’un événement au siège de Microsoft France le 24 janvier 2020, My-Serious-Game, leader de la formation digitale sur-mesure, s’est vu remettre par l’AFNOR la première certification AFAQ « Ingénierie de formation digitale ».
Première du genre, cette certification marque une avancée majeure pour le marché de la formation professionnelle en pleine mutation tant elle répond à une volonté de tous ses acteurs de structuration et d’efficience des actions de formations, en présentiel comme en distanciel. Ainsi, la certification valide la qualité de la méthodologie déployée et s’applique à tout type d’organismes qui élabore des produits éducatifs ou de formations digitales.
De l’analyse du besoin, à la démarche de qualité de l’organisme qui met sur le marché une formation, la certification « ingénierie de formation » passe au crible toutes les étapes de conception (besoins identifiés, objectifs, cadre technologique etc.), l’approche pédagogique, le design et l’évaluation de la formation proposée.
L’entreprise a travaillé pendant plus de quatre années au développement d’un écosystème nommé EdMill, dont le cœur du produit repose intégralement sur cette ingénierie de formation digitale certifiée.
Désormais, consultants formateurs indépendants, organismes de formations, responsables formation grands comptes et experts métiers pourront user de l’écosystème EdMill et son moteur de conseil intégré pour gérer l’ensemble de leurs actions de formation digitales en s’assurant de bénéficier d’une qualité optimale de conception et de nombreux suivis statistiques.
Soutenue par des entités et personnalités prestigieuses du secteur Technologique, des Ressources Humaines, de la Formation (Microsoft, EdTech France, Cap Digital, AFNOR, ANRT, FFP, BPI France etc.), des institutions et des branches universitaires ; My-Serious-Game a depuis sa création en 2014, pleinement investi ses ressources R&D en neurosciences, andragogie et ingénierie de formation pour aboutir à une méthodologie parfaitement éprouvée (plus de 1000 parcours de formations créés depuis 2014 – à destination de plus de 1 millions d’apprenants) et désormais légitimée par l’obtention d’une certification AFNOR.
Nous sommes très fiers d’avoir participé au groupe de travail « Pédagogie par le jeu » de l’Association Nationale Recherche et Technologie (ANRT). Découvrez comment l'ANRT mutualise les compétences pour remettre l'apprentissage au centre.
Nous avons été associés au titre de membre de l’ANRT à cette réflexion qui a reçu le soutien financier du Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation et des souscripteurs Futuris qui regroupent des organisations telles que Bouygues, Orange, le CEA, l’Institut Mines Telecom ou encore Orange (entre autres).
Convaincue du pouvoir de l’intelligence collective, l’ANRT a réuni autour de la table de ce projet ambitieux des responsables d’entreprises, des professeurs d’université, des chercheurs, des représentants institutionnels pour apporter leur expertise et leurs regards croisés sur la question de l’évolution des pratiques pédagogiques par le développement et l’intégration des jeux.
Entre octobre 2018 et juillet 2019, sept rencontres ont permis de contribuer à formaliser 11 recommandations aux établissements scolaires et universitaires, aux entreprises et aux pouvoirs publics. Parmi ces recommandations : intégrer la pédagogie par le jeu dans la formation permanente du corps enseignant, adopter une TVA unique pour les jeux pédagogiques (5,5% comme pour les livres) ou encore favoriser le recrutement des doctorants CIFRE sur des thématiques liées […] aux questions de l’élaboration des preuves d’efficacité des jeux pédagogiques.
Un rapport, organisé autour des axes méthodologiques proposés par Hélène Michel (Grenoble École de Management) et validés par les membres du groupe, constitue le fruit de nos réflexions. My-Serious-Game a témoigné de son expérience et apporté son expertise sur les six axes suivants :
Ce rapport a bénéficié de l’accompagnement et du soutien de Denis MASSEGLIA (Député du Maine et Loire) et de sa collaboratrice parlementaire Agathe KWANTES, de Bruno BONNELL (Député de Villeurbanne), d’Alain CADIX (Académie des Technologies), de Rami ABI-AKL (DGE et Deep Tech Manager à la Mission French Tech), de Remy CHALLE (EdTech France) et de Jean Luc VALLEJO (ISKS).
Découvrez les 11 recommandations dans ce cahier Futuris 2020 aux établissements scolaires et universitaires, aux entreprises et aux pouvoirs publics pour développer l'efficacité des jeux pédagogiques.
Cette année, c'est Ludovic Paton, Key Account Manager de My-Serious-Game, qui s'est rendu au Web Summit de Lisbonne pour dénicher les dernières innovations technologiques au service de la formation : "Intelligence Artificielle Généralisée", data, différenciation et individu, on vous dit tout dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers !
Toute la planète Tech s'est retrouvée à Lisbonne pour une nouvelle édition du Web Summit ."The place to be" pour tous les géants du secteur (Amazon, Microsoft, Huawei, Wikipédia, Commission Européenne) qui célèbrent la messe du Web et pour toutes start-up qui veut s'inspirer, comprendre, grandir à l'international.
Alors qu’en 2019, le Web Summit était focalisé sur les datas et leur sécurisation, cette année on dirait bien que le sujet n’est plus le « comment » mais le « pour quoi faire », autrement dit comment exploiter au mieux ces informations, ces données pour faire un immense bond dans l’ultra-assistance, service, accessibilité et personnalisation de l’offre.
Notre aventure au travers des allées bondées et des scènes multicolores de la plus grande conférence Tech au monde, nous a une fois encore donné la chance d’assister à des moments et des rencontres insolites, des discours poignants et des annonces chocs dont ressortent nettement plusieurs sujets phares : l’IA, l’individualisation et la personnalisation d’une expérience utilisateur, AGI (interconnexion des données), l’éthique et la différenciation des entreprises.
« La meilleure conférence sur la technologie de la planète », Forbes
Un terme utilisé depuis quelques années et qui s’est maintenant démocratisé voir décliné sous tous les auspices, quitte à se voir parfois sévèrement dénaturé.
Une technologie qui peut effrayer et laisser espérer de belles utilisations, comme le dit Brad Smith : "Un balai peut être utilisé à bon escient pour nettoyer ou à mauvais escient pour frapper quelqu’un avec, c’est également le cas de l’IA". Il y a quelques années, toutes les entreprises se disputaient pour récupérer de la data de leurs utilisateurs, maintenant ces mêmes entreprises se battent pour savoir avec quel prisme elles vont pouvoir utiliser ces datas. Quelle va être la meilleure segmentation possible pour offrir à l’utilisateur une expérience nouvelle, engageante et stimulante ?
Deux cas d’usage de cette IA :
En 1950, l’individu et sa place dans la société était défini par son métier, en 2010, il était défini par ce qu’il achetait donc par son pouvoir d’achat, maintenant il est défini par ce qu’il aime (l’humour, les vêtements, le sport, l’environnement, etc.). L’expérience est donc tournée vers ses goûts, ce qu’il aime, on vise l’ultra-personnalisation.
Les entreprises se lancent sur un nouveau créneau où effectivement l’expérience est la plus unique possible mais elle doit également contribuer à l’élévation personnelle de l’individu et lui permettre en l’influençant et le conseillant le plus possible de retirer un gain (de temps, d’argent, de savoirs etc.) pour lui et pour l’entreprise avec un engagement constant.
Une banque a créé pour ses utilisateurs une technologie qui indique à chaque personne leur « Reste à Vivre » à la fin du mois et s’il investissait par exemple 80% de ce RAV (avec un curseur) sur un livret X au bout de Y années, il obtiendrait Z € sur son compte. Aucune publicité ni mail, ni courrier, ni notification ne sont envoyées à la personne mais cette simple bannière leur permet de générer des souscriptions supplémentaires.
L’individu a une place importante et doit être au centre de toute expérience digitale. Ce même individu est par extension intégré dans une société, et le système de pensée actuel s’oriente entre autres vers le bien-être et les loisirs qui permettent de contribuer de manière bienveillante et engagée à l’amélioration de la société en amenant sur le devant de la scène des sujets sociétaux forts : la diversité (sexe, religion, âge), l’inclusion, le handicap, l’environnement, l’éducation (l’accès à celle-ci, comment l’améliorer), la santé (alimentation, physique et mentale, les maladies).
Ce système de pensée est maintenant présent dans toutes les sociétés et il impacte les prises de décisions des entreprises.
Si l’on traduit ce phénomène de manière économique : prenons un prestataire digital learning My-Serious-Game et un autre prestataire nommé A, ce qui va faire la différence dans la sélection du prestataire par le client va être dans un premier temps la solution proposée. A solutions quasi identiques (niveau de compétences, technologies, prix, réactivité, etc), ce qui peut et qui va influer la décision finale de recourir à tel ou tel prestataire va être ce qui ressort de sa politique interne et externe.
A-t-elle une identité forte ? Est-elle positionnée sur des sujets de société, même de manière indirecte sur un recrutement diversifié ? Mène-t-elle par exemple une démarche de green IT ? A-t-elle œuvré pour une association caritative ?
La Réalité Augmentée se démocratise et s’installe au cœur des entreprises comme un outil directement exploitable en situation professionnelle.
Les must de l'innovation techno-pédagogique :
Le géant Amazon s’est exprimé sur l’IA « comment peut-on par exemple utiliser une IA comme Alexa en l'intégrant de manière libre à n'importe quel outil du monde de l'IOT ? » (enceinte écho bien sûr, mais aussi sonnette de porte, smartphones, caméras de sécurité, bracelets connectés etc). Rassurez-vous tout de suite ! Vos données vous appartiennent, et elles doivent être sécurisées (#merciRGPD). Mais désormais, c'est à l'utilisateur de choisir quelle donnée il souhaite transmettre à quel outil.
Comme un écho à ces projections, beaucoup de start-up présentes au Web Summit exposaient des plateformes qui permettent l'interconnexion des différents nuages de données pour offrir à l'utilisateur une expérience « smooth & seamless ».
Concrètement, vous arrivez dans une nouvelle ville en voyage, à l'aéroport, vous avez déjà téléchargé une appli qui récolte vos données (biométrie, trajets, position GPS, préférences, profil professionnel, profil personnel, lien social network, etc).
Dans les boutiques de l'aéroport, vous aurez accès à des suggestions personnalisées, un paiement facilité, vous arrivez ensuite au Web Summit, on vous propose des suggestions directes de conférences à ne pas manquer, et une organisation automatique de votre agenda en fonction de ces dernières, de vos rendez-vous, etc.
Plus tard dans la journée, l'IA vous propose de commander votre nourriture à votre place ; vous revenez chez vous, l'IA vous a déjà compilé un montage vidéo/photo reporting de votre expérience sur place, etc...
Loin du cliché d’une automatisation à outrance, la promesse est ici d’offrir la possibilité aux individus de se concentrer non pas sur la "sélection" mais sur l'affinage. Un autre argument consiste à s’attaquer au nombre grandissant (et trop important) d'informations à traiter, à cette fameuse « surcharge cognitive », dorénavant l’expérience « smooth & seamless » nous invite à reposer nos cerveaux. Alors, ça vous tente l’interconnexion de vos données ?
D’un point de vue marché, on peut s’attendre à des fusions de grandes ampleurs entre les leaders de chaque secteur où l’IA a sa place... banque, e-commerce, assurance, livraison etc. Ainsi le consommateur pourra réaliser l’ensemble de ses commandes, par une seule porte d’entrée tout en lui offrant un service ultra-personnalisé (grâce à la collecte permanente de ses datas).
Cette année, c’est Ludovic Paton, Key Account Manager de My-Serious-Game, qui s’est rendu au Web Summit de Lisbonne pour dénicher les dernières innovations technologiques au service de la formation : "Intelligence Artificielle Généralisée", data, différenciation et individu, on vous dit tout dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers !
Le dispositif CARE a pour vocation d’accompagner une fois par an, 11 pépites Tech françaises sur le marché nord-américain pour accélérer leur développement et leur élan d’internationalisation. En leur permettant de rencontrer des interlocuteurs hautement qualifiés sous forme de business meeting, les jeunes pousses de la French Tech peuvent ainsi nouer des relations durables avec les parties prenantes de la santé au Canada et aux États-Unis.
Fondé en 2014, My-Serious-Game place l’innovation au coeur de ses projets et investit dans son pôle R&D pour penser et concevoir les modes d’apprentissages de demain (formation initiale et continue).
Pour candidater au programme CARE Talk and Tour 2019, il fallait détenir une solution à la fois innovante, solide et qui réponde à 3 critères : “Digital – Health – Innovation”.
Une belle opportunité pour My-Serious-Game qui commercialise depuis 1 an en France un outil de simulation digitale à destination des infirmiers : IFSImulation.
Co-développé avec une équipe de professionnels de santé (cadres de santé infirmières et formatrices, médecins, enseignant-chercheur), IFSImulation repose sur un puissant moteur de simulation 3D digne des plus grands jeux vidéos. La qualité des images et animations a été poussée à son maximum pour plonger les étudiants infirmiers au coeur de situations réalistes afin de renforcer l’apprentissage par la pratique.
L’équipe de production a réussi à créer un environnement réaliste, conforme aux agencements et dispositifs de structures hospitalières (services pédiatrique et adulte, EPHAD) avec des problématiques fidèles à celles du terrain, basés sur la réduction des “never events”.
Un puissant outil de simulation où l’apprenant évolue en autonomie pour mettre en application réelle ses connaissances, dans un environnement sécurisé (celui de la simulation virtuelle) et qui lui permet une analyse approfondie de ses réussites et difficultés, grâce au niveau de tracking des données de simulation.
Durant les phases de sélection pour le programme CARE 2019, IFSImulation a retenu toute l’attention du jury de par la qualité du design et des animations graphiques, la conformité de ses contenus et son approche pédagogique innovante : Simulation réaliste en libre navigation, tracking ultra-détaillé, analyse des données de simulations pour booster l’apport de l’apprentissage par la pratique.
Le 22 septembre 2019, François-Xavier Talgorn (Vice Président Innovation de My-Serious-Game) et Guillaume Etlin (Directeur d'IFSImulation) se sont envolés pour la dernière, mais non la moindre, étape “Tour” du dispositif CARE.
Au total ils ont comptabilisé 5 jours de voyage dans 3 villes différentes et 17 rendez-vous avec des membres du jury, des experts et investisseurs nords américains (Canada et USA) dans le domaine de la Healthcare, parmi lesquels : Boston’s children hospital, CHUM, Deloitte, Siemens Healthcare, Columbia school of nursing, etc.
« L’équipe de production a réussi à créer un environnement réaliste, conforme aux agencements et dispositifs de structures hospitalières avec des problématiques fidèles à celles du terrain, basés sur la réduction des “never events”.»
Interpellées par les enjeux que portent la formation digitale du personnel soignant en étude ou en activité, plusieurs entités nord-américaines ont souhaité rencontrer notre équipe pour en savoir plus et envisager l’intégration de la solution IFSImulation ou d’une solution sur-mesure dans leur offre de formation.
Des rencontres qui ont confirmé le caractère innovant et disruptif d’IFSImulation et plus largement de l’expertise techno-pédagogique de My-Serious-Game. Une expérience qui laisse entrevoir à My-Serious-Game de belles opportunités à l’export pour ses solutions et son “French Tech” savoir-faire.
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Le management évolue et s'adapte de génération en génération, de nouvelles typologies prennent le devant pour donner plus de sens. Tout cela sans oublier les objectifs d'entreprise et ses valeurs. Louvre Hotels a pris le parti d'innover pour diffuser sa vision du management avec la réalité virtuelle. Comment construire une telle expérience formative dans un contexte hôtelier ? Les détails dans ce podcast.
Alexandre Prieur et Maxime Bouron du groupe Louvre Hotels nous présentent leur application de formation en réalité virtuelle "Playful Leader", à destination des managers en hôtellerie, dans ce nouvel épisode des Digital Learning Makers "Former au Management avec la Réalité Virtuelle"
Pour fêter ses 5 années d'innovation, l'équipe de My-Serious-Game a bien bûché pour offrir à son président un beau trophée, à l'occasion de son séminaire annuel !
Addup est une joint-venture de Michelin créatrice d'une technologie encore inexistante sur le marché, l'impression additive métallique. Ses enjeux ? Se développer telle les licornes qui ont modelées nos modes de production. La formation est donc au coeur des intérêts d'Addup qui a disrupté son écosystème formatif.
Comment former des millions d'apprenants potentiels à une technologie de rupture, rapidement et à moindre coût ? Pascal Goumault, senior training manager de l'entreprise AddUp (spécialisée dans l'impression additive métallique, un procédé révolutionnaire semblable à l'impression 3D), et Marine Bénézech, ingénieure pédagogique chez My-Serious-Game, nous parlent de la formation digitale innovante mise en place pour répondre à cette problématique.
La start-up My-Serious-Game, créée en 2014, propose aux grandes entreprises d'atteindre leur objectifs grâce au jeu. Réalité virtuelle, jeu vidéo, BD interactive... Les options sont nombreuses.
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Nos experts, Marine Bénézech et Florent Teyras, vous proposent de mettre en réflexion les pratiques de l’ingénierie de formation à travers un retour d’expérience et des illustrations. Rejoignez-les pour le premier webinar de la trilogie des ingénierie(s) en formation.
Ces notions font partie de notre quotidien. On les manipule, on les étire, on les éprouve, participant de fait à un glissement sémantique. Apportons un éclairage sur ces notions complexes et polysémiques.
Quels leviers permettent de stimuler la performance commerciale ? Quels outils permettent donner envie de mieux connaître ses produits et de se dépasser ? Fnac-Darty et My-Serious-Game se sont posés ses questions et y ont répondu avec grand succès.
Découvrez l'application mobile de challenge commercial qui a boosté les ventes de Fnac / Darty ! Entretien avec Nicolas ANCHIER (Directeur des ventes services Fnac / Darty) et Mathieu LANSOY (Responsable développement des ventes services Fnac / Darty) qui expliquent comment le groupe s'est rapproché de l’expert en pédagogie numérique My-Serious-Game pour développer une solution innovante et gamifiée et développer son chiffre d’affaires !
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Spécialiste des formations virtuelles sur mesure, My-Serious-Game a annoncé une levée de fonds de trois millions d'euros le 15 janvier 2019. Cette start-up de cinquante personnes va installer des bureaux à Paris.
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Spécialisée dans la création de formations digitales personnalisées et axées sur le jeu, My-Serious-Game connaît une croissance fulgurante. Visite de cette entreprise tourangelle devenue leader sur le marché national.
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Un an après sa sélection parmi les 600 meilleures start-ups au CES 2018, My-Serious-Game, spécialisée dans la conception et le déploiement de formations digitales sur-mesure, confirme sa percée avec une levée de fonds de 3 millions d’euros auprès de trois fonds d’investissement (Go Capital, Galia Gestion et A Plus Finance), de BNP Paribas, de BPI France et de la Région Centre - Val de Loire.
Suite à un process orchestré par Acetis Finance, My-Serious-Game embarque désormais avec elle trois nouveaux membres au sein de son comité stratégique : « Nous avons pris le temps de nous connaître et d’échanger sur nos visions car il était essentiel que nous partagions les mêmes valeurs et la même ambition » explique Frédéric Kuntzmann, notre fondateur et CEO.
Jouant sur un marché exigeant, My-Serious-Game, désormais reconnu comme un acteur majeur du Digital Learning, entend profiter de ces fonds pour viser toujours plus haut et frapper plus fort : internationalisation, ouverture de bureaux à Paris, lancement de produits, accélération des embauches...
« Ensemble, nous visons la place de leader de la formation digitale sur-mesure en Europe d’ici à 2020 » déclare Alexis Ménard, du fonds d’investissement Go Capital.
Créée en 2014, My-Serious-Game connaît depuis lors une croissance annuelle à 2 chiffres et voit ses effectifs doubler chaque année.
La capacité de la start-up à combiner la technologie et la pédagogie pour créer des formations digitales originales, innovantes et impactantes a séduit en très peu de temps à la fois des grands groupes du CAC40 (Sanofi, Bouygues Construction, Total, Eiffage, SNCF, Carrefour...) comme des acteurs publics (Ministère de l’Intérieur, Université de Nantes...) ou des organismes de formation et PME. Les technologies sont diverses (simulation 3D, motion design intéractif ou encore réalité virtuelle) et toujours utilisées au service de l’apprentissage à travers la gamification.
“La formation doit susciter l’effet ‘Waouh’ mais doit surtout servir des objectifs pédagogiques, et permettre d’augmenter le potentiel humain”, Carine Lohé, COO de My-Serious-Game
Convaincu que l’avenir de la formation sera assurément digital mais surtout intelligent, My-Serious-Game anticipe les évolutions robotiques et les besoins pédagogiques notamment en travaillant au développement d’une solution basée sur le machine learning (intelligence artificielle) : sortie prévue à l’été 2019.
Notre start-up connait une croissance fulgurante et parvient à convertir au numérique de plus en plus d’acteurs du secteur de la formation, malgré cet essor de nombreux défis restent à dépasser (concurrence virulente, renouveau continu des technologies, maturation de la demande etc.).
Go Capital est une société de gestion indépendante gérant des fonds d’investissement en capital-amorçage et en capital-risque pour près de 200 millions d’euros et intervenant dans des sociétés innovantes technologiques basées dans l’Ouest et le Centre de la France.
Le fonds Loire Valley Invest, lancé en avril 2017 est doté de 21,5 millions d’euros et est souscrit par BPI, la Région Centre Val de Loire, les métropoles d’Orléans et de Tours, des partenaires bancaires (Crédit Agricole Centre Loire, Caisse d’Epargne Loire Centre, Banque Populaire Val de France, BNPP), des partenaires industriels et institutionnels (Groupama Paris Val de France, Thélem Assurances, EDF, Michelin, Revicentre). Go Capital, au travers de ses 6 FPCI sous gestion (Go Capital Amorçage I et II, Ouest Ventures I, II et III et Loire Valley Invest) a investi dans près de 100 entreprises essentiellement dans les domaines du digital, de la santé et de la transition énergétique.
Contact : Alexis MENARD - alexis.menard@gocapital.fr
Galia Gestion accompagne depuis 2002 les dirigeants dans leurs projets de reprise, de croissance et d’innovation en investissant au travers de FPCI institutionnels et de fonds d’investissement de proximité, sur les territoires du Sud-Ouest, en Centre Val de Loire et en Ile de France.
Contact : Christophe Douffet - christophe.douffet@galia-gestion.com
Depuis plus de 20 ans, A Plus Finance investit dans l’économie réelle à travers des actifs principalement non cotés. Les pôles d’expertise développés au sein de la société de gestion sont centrés sur l’innovation, le capital transmission, l’immobilier, le financement du cinéma et les fonds de fonds. Au 31 décembre 2017, les actifs gérés ou conseillés s’élèvent à 700M€, dont plus de 40% pour le compte d’institutionnels.
Contact : Florian Denys - florian.denys@aplusfinance.com
Suffit-il d’intégrer un Pac-Man dans les formations ? De créer un univers à la Mario ? De proposer un leaderboard pour instaurer de la concurrence ? Les idées seraient bonnes, et ne manqueraient pas. Mais la gamification, ce n’est pas que ça !
Nous avons détaillés les clés de succès de la gamification auprès de nos game designers, game developers, ingénieurs pédagogiques et compilé l’expérience de notre client, Fnac-Darty. Découvrez les intervenants :
Isabelle Moreira, consultante recrutement au sein d'un cabinet Spring, et Axel Malescassier, talent aquisition manager chez My-Serious-Game, abordent différents sujets liés à l'intégration d'un nouveau collaborateur (l'on-boarding), les soft skills et les hard skills.
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Pour regarder l'interview :
Toujours plus gros, toujours plus fort, le Web Summit explose une fois de plus ses records de participation. 70 000 visiteurs de 159 pays, 1 800 start-ups et plus de 800 speakers de renom sont venus faire de cet événement le rendez-vous immanquable des professionnels du digital, investisseurs ou simples curieux technophiles.
Une nouvelle fois, nous y sommes allés avec notre curiosité inextinguible et cette envie de nous frotter aux nouveaux acteurs du milieu. Nous nous sentions cependant bien seuls dans le secteur du digital learning, bien que nous ayons fait de nombreuses rencontres enrichissantes avec de possibles futurs partenaires, en France comme à l’International. Voyez par vous-même :
Représentant la French Tech Loire Valley, nous avons exposé nos solutions de formations digitales sur-mesure parmi les stands Beta (level up!). Mais surtout, nous sommes venus découvrir les nouveautés en matière d’intelligence artificielle, de traitement de données, de culture web et les dernières tendances en marketing, comme la maîtrise de tous ces sujets est capitale dans le développement de solutions toujours plus intelligentes, adaptées et innovantes.
Si vous êtes un adepte du podcast, vous pouvez écouter les impressions sur les sujets tendance, les grandes conférences et les nouvelles technologies de cette édition présentées par Clément, notre Communication Manager, dans le #7 épisode de notre podcast, des Digital Learning Makers.
On vous raconte notre expérience vécue dans le compte rendu Web Summit 2018 by My-Serious-Game, dans ce livre blanc.
Evénement incontournable de l'écosystème digital, le Web Summit a tenu toutes ses promesses. Intelligence artificielle, dangers du web, réalité virtuelle, marketing et bien-sûr éducation, tant de thématiques abordés dans ce podcast orienté innovation. Clément Horvath, notre Communication Manager et animateur du podcast, s'y est rendu et nous dévoile les innovations présentées lors de cette édition 2018 !
La mission de My-Serious-Game a toujours été de valoriser, mobiliser, former, faire monter en compétences l’Humain, au centre des entreprises. En s’appuyant sur la formidable opportunité de la transition numérique, qui regroupe tout un lot d’innovations, nous souhaitons les mettre au service de la force vive de l’entreprise.
Lorsque l’entreprise a été fondée en 2014, le monde entrait dans une nouvelle ère, celle de la transition numérique, écologique et économique. On estimait que les connaissances doubleraient toutes les 24 heures. Aujourd’hui, ce chiffre est porté à 12 heures aux environs 2020. L’hyper-innovation, l’hyper-compétitivité et l’hyper-croissance n’étaient qu’à leur début.
My-Serious-Game, a été créé dans le but d’apporter des solutions concrètes et digitales et d’innover dans les offres de formation pour les rendre plus attrayantes et performantes Il est indéniable que se former est un exercice qui demande du temps, de la discipline et de l’investissement personnel. Les plus réticents négligent souvent les multiples retours positifs que la démarche de formation apporte : meilleures performances, sentiment de valorisation, hausse du bien-être, etc.
Depuis ses débuts My-Serious-Game conseille et accompagne plus de 100 partenaires, clients, grands groupes ou ETI, public ou privés, cherchant à instaurer une dynamique de formation structurée, innovante et impactante pour gagner en compétitivité mais aussi pour stimuler les forces vives de leurs collaborateurs.
Au travers de son pôle innovation, notre cabinet s’engage dans des travaux de recherches neurologiques, cognitives et technologiques pour offrir des solutions de pointe : simulation 3D en temps réel, intelligence artificielle, machine learning, etc. Nous nous réinventons continuellement pour nos clients et avec eux.
« Les échanges commerciaux déstructurés par le digital ont été sur-optimisés, voire même déshumanisés. Nous refusons d’être solidaires avec cet état d’esprit », Frédéric Kuntzmann, CEO et Co-fondateur de My-Serious-Game.
Notre start-up connait une croissance fulgurante et parvient à convertir au numérique de plus en plus d’acteurs du secteur de la formation, malgré cet essor de nombreux défis restent à dépasser (concurrence virulente, renouveau continu des technologies, maturation de la demande, etc.).
Le professeur et théoricien Pascal Marquet (Université de Strasbourg), inventeur du conflit instrumental, nous a fait l'honneur de sa présence dans ce podcast spécial des Digital Learning Makers : "le numérique au service de l'apprentissage".
Et s’il suffisait d’obtenir une bonne notation pour compter aux yeux des investisseurs et des grands groupes ? C’est en tout cas le pari de la plateforme RateAndGo, un système de notation exigeant et gratuit pour les startups qui a séduit My-Serious-Game, récemment érigée au rang « d’excellence » avec une notation de 75/100.
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Manon Leterme, responsable R&D de My-Serious-Game, nous parle d'innovation dans le domaine de la formation. Réalité virtuelle et autres "gadgets" vont-ils révolutionner la pédagogie ?
L’année 2018 a offert de nombreuses nouveautés au sujet du Learning & Development (L&D). Au programme : la 3ème édition de Vivatechnology, Preventica à Lyon et la Healthcare Paris Week.
La vitesse est au cœur de l’expérience d’apprentissage. Et ce n’est pas cette nouvelle édition de Viva Technology qui va nous contredire.
Le maintien des compétences dans ce monde technologique en rapide évolution est le défi à relever de ces prochaines années. Au moment où les collaborateurs commencent à maîtriser une nouvelle technologie, une nouvelle compétence, une nouvelle version ou outil sort avec des fonctionnalités supplémentaires.
Toutes les entreprises deviennent des entreprises technologiques. Chaque secteur d’activité doit se structurer vis-à-vis de ces nouveaux enjeux.
Qui dit technologie, dit bien souvent environnement virtuel mais n’oublions pas la réalité : chaque année en France, on compte 620 000 accidents de travail et 50 000 maladies professionnelles. Ils ont d’importantes conséquences sociales et économiques sur l’entreprise, et représentent 40 millions de journées non travaillées.
My-Serious-Game, en collaboration avec Orchestra Consultants (organisme de formation expert en risques professionnels) et des directeurs sécurité de grands Groupes, a développé un support pédagogique multimédia intuitif et ludique pour une meilleure sensibilisation aux risques du travail : My-Safety-Game. Accessible à tout moment, le programme a pour fil rouge les Safety Awards, un festival présentant les risques fréquemment rencontrés en entreprise.
Ce parcours de formation vous surprendra par sa forme : un film couplé à 17 modules interactifs sous différentes formes (motion design, illustration, animation 3D ou films entièrement gamifiés) pour vous approprier les bonnes pratiques en matière de prévention des risques. Éligible au plan de formation de l’entreprise, il s’adapte à l’apprenant en sélectionnant les risques qui le concernent directement, tout en laissant les autres en libre accès par la suite. L’ensemble est jouable sur ordinateur, tablette et smartphone.
Jamais la première fois sur le patient. C'est avec cet adage qu'est né IFSImulation, la première formation APM par les IFSI, pour les IFSI.
Le premier outil de simulation virtuelle pour l'entrainement du personnel infirmier était donc présenté au HealthCare Paris Week avec succès. Les intéressés ont pu prendre conscience du levier que représente ce type de simulation.
Aurélie Pitault-Moreau, Learning Designer chez My-Serious-Game, nous livre ses bonnes pratiques pour stimuler sa créativité et engager ses apprenants !
Julien ROCCA, Game Designer chez My-Serious-Game, définit Game Design et Gameplay dans ce nouveau podcast des Digital Learning Makers.
Carlos BOHORQUEZ (PhD Cognitive Neurosciences), Learning Technologies Scientist chez My-Serious-Game, nous parle du conflit instrumental et de son intégration dans nos parcours de formations digitales.
Qu'est-ce que la gamification, quel est son but et quel résultat peut-on en attendre ? Pierre Tostain, Business Manager chez My-Serious-Game nous apporte des éléments de réponse.
Considérés comme des acteurs majeurs du paysage du e-learning, digital learning, des serious games et autres appellations bien spécifiques et connus dans les technologies d’apprentissage, les Learning Technologies ont encore été une franche réussite cette année. Découvrez les nouveautés de l'année.
Mouvement initié exclusivement à Londres, il s’étend désormais en France avec la fusion de l’ancien « iLearning Forum » en Learning Technologies France… Véritable partenariat stratégique pour étendre son rayonnement Européen. Dans la même veine, le salon Espagnol Edulearn devient Learning Technologies Spain, et le célèbre OEB germanique devient Learning Technologies Germany pour l’édition 2018.
La moquette bleue nuit, qui casse la couleur de l’année 2018 et effigie du Learning Technologies (le violet) et quelques spots annoncent un virage numérique dans notre stand. Nous avons misé sur la mise en avant de nos créations digitales, qui retracent l’année de travail qui s’est écoulée, où les projets se sont enchainés. A l’extrémité du stand, une démonstration en avant-première de nos dernières innovations était disponible, ainsi que ResponSEAbility, un prototype en réalité virtuelle d’un univers 3D sous-marin.
Nous souhaitions offrir aux visiteurs la possibilité de se projeter ou de mûrir leurs projets avec des visuels d’une qualité exceptionnelle, et d’un intérêt pédagogique qui n’est plus à prouver. Au-delà de ce nouveau stand, y’avait-il dans les allées de cet événement de nouvelles interrogations concernant le digital learning de la part des visiteurs, clients et partenaires ?
En France, la résistance au changement est encore un fléau qui perdure. Le partage, la création de communauté sont des pratiques qui se renforcent et complètent le phénomène de curation qui grandit, dans l’échange avec ses pairs. De notre côté, les créateurs de formations digitales s’activent pour permettre aux apprenants de produire eux-mêmes du contenu dans leur formation.
On ne parle pas ici de les enrichir en déposant un commentaire ou une réflexion sur le tchat du LMS. Il s’agit de laisser à l’apprenant la possibilité de modifier le module de formation qu’il est en train de vivre. C’est ce qui est communément appelé le « User generated content ». Par exemple, dans les serious games, la possibilité d’aider ou de piéger ses collègues, pour accroître la compétitivité entre les équipes, est possible.
En amenant une plus grande liberté à l’apprenant dans ses décisions et son influence sur la formation qui se déroule, son engagement pour l’activité proposée devient nettement supérieur.
Ces journées étaient l’occasion d’animer deux ateliers, sur deux thèmes plus ou moins similaires, qui englobait un atelier dédié aux « Innovation Technologies » et aux Innovations avant-gardistes. La foule était nombreuse, ce qui est un indicateur de l’intérêt des professionnels des ressources humaines et de l’apprentissage pour l’explication des tendances de demain.
Les nouveaux standards de la formation se cachent derrière deux concepts qui émergent depuis quelques années : la personnalisation et la collaboration.
A l’image de notre société où chacun souhaite personnaliser de plus en plus ses biens ou les services proposés (pensez aux chaussures Nike ou aux possibilités qui s’offrent à vous dans les Telecoms), la formation suit fièrement ce mouvement. Mais il manquait un petit coup de boost pour accélérer sa transformation. Et l’avancées des technologies rend les choses plus aisées.
“Ce qui est très important, et ce que nous permet les technologies et la pédagogie, c’est de pouvoir personnaliser le feedback donné aux utilisateurs”, Frédéric Kuntzmann
Aujourd’hui, on est capable de délivrer une information dont a besoin l’apprenant, et uniquement celle-ci. Mais la plus-value n’est plus seulement de personnaliser son format d’apprentissage sur la forme et sur le fond, mais de personnaliser en temps réel, ce fond et cette forme, qui sont donnés aux collaborateurs.
Il est possible d’arriver à ce niveau d’exigence avec la montée en puissance de l’intelligence artificielle qui permet d’adapter la formation (Adaptive Learning) et la gamification, qui permet d’engager les personnes dans la formation.
Un autre point important a été de lever le voile sur la gamification, ce concept de plus en plus en vogue mais qui reste très largement assez incompris. Notre présentation nous a amené à intervenir sur ce sujet, en expliquant les prémices et l’intérêt de cet outil pédagogique :
"On va de plus en plus vers l’aspect collaboratif, réseaux, partages etc. sur des formats de plus en plus courts avec une vraie répétition, à l’image du développement des séries. On rejoint ce monde de consommation, où on est dans la multi activités. Très souvent, en conférence, on regarde en même temps ses textos ou ses mails, quand on regarde la télé on va faire un jeu… Sur des choses brèves, ludiques, agréables, il faut du plaisir. Des moteurs comme la gamification sont primordiaux".
Soit, la gamification, "ce n’est pas tirer sur des canards" ou devoir recréer le monde de Zelda. Ce n’est pas forcément gagner des points. Parce que sa vraie finalité, c’est d’avoir un sentiment d’utilité. Elle permet de ressentir des émotions, vivre une intrigue, rentrer dans une histoire.
Pour cela, on a besoin de vrais leviers, et de jouer sur d’autres concepts que sur ces simples badges, niveaux, trophées. Jouons sur la pénurie, la collaboration, le dépassement de soi et nombres autres leviers pédagogiques.
Notre aventure se poursuit alors en Outre-Manche. Ici, tout est plus grand, plus extravagant, plus osé. Il faut dire que l’entrée, contrairement à l’édition Française, est payante pour les visiteurs.
Les organisateurs veillent donc encore plus à ce qu’ils soient satisfaits de leur visite ! Ici et là, des allées noires de monde, où la langue de Shakespeare est ponctuée d’accents différents. On rencontre à nouveau des professionnels hautement qualifiés dans leur domaine, et des échanges enrichissants sur le digital learning et les parcours de formation de chacun.
« L’apprentissage avec et par la technologie » est LE défi commun et populaire. Depuis ces cinq dernières années, de nombreuses évolutions ont transformé la façon dont nous organisons, consommons et recommandons l’apprentissage. C’est un constat. Parallèlement, les entreprises créent des cellules en interne spécialisées dans la création de contenu formatif, pilotées par des Chief Learning Officer (CLO).
Leur souhait n’est ni plus ni moins de vouloir internaliser la création de modules de formation pour leurs équipes. Mais quid du cachet techno-pédagogique de ces derniers ? Peut-on vraiment donner les clés de la formation à des unités spécialisées alors que des mauvaises habitudes et réflexes ont été engrangés depuis toutes ces années ? Plutôt que d’essayer de rattraper le retard digital, il conviendrait de vraiment innover ! #Stopcatchingup
Tout comme le marché français, celui de notre voisin européen a un réel besoin d’innovation. On se rend facilement compte que les problématiques des visiteurs sont souvent les mêmes ; beaucoup d’outils révolutionnaires, de process ou d’idées leurs sont présentés, mais peu de réelles recettes ou de bonnes pratiques leurs sont confiées.
Même si les nombreux produits de digital learning sont souvent bien assimilés, on observe que les manières de « faire de la formation » dans les entreprises sont désormais has been. Parallèlement, la formation est l’enjeu clé de cette décennie pour les collaborateurs ; avantage compétitif, employabilité… Mais paradoxalement, nous prenons moins de temps pour se former, alors qu’il y a une vraie urgence.
Jane Hart, une personnalité à suivre pour tirer le meilleur parti des Learning Technologies UK, a « donné le la » pour cette édition à travers un tweet piquant à vif les exposants venus présenter leurs solutions ;
Entendons par-là que, dans les milieux de travail moderne où nous évoluons, le tryptique "créer, livrer et manager/gérer" l’accès aux contenus de formation est desuet . Les parcours d’apprentissage, et l’expérience qui l’englobe, doivent être redessinés. Tout comme un produit, son utilisation doit évoluer. Tout comme les ports USB, le e-learning tel que nous le considérions hier, est devenu "has been".
Trois piliers sont fondamentaux pour préserver l’intégrité et l’efficacité des offres de modules de formation e-learning :
Mais le parcours d’apprentissage est à repenser. Les LMS deviennent obsolètes, le langage SCORM est encore le plus utilisé et nous esquivons le problème d’engagement simplement en rendant la formation obligatoire. L’obligation est ce mauvais fléau qui donne une image négative de la formation digitale auprès des apprenants. Imaginez YouTube, qui s’apparente au meilleur LMS à la demande ; nous pouvons apprendre à chanter, cuisiner, bricoler en un rien de temps.
Le problème, c’est que transposé dans le monde de l’apprentissage, le YouTube que nous mettons bien souvent à disposition des apprenants respecte un tout autre schéma : vous devez télécharger, graver un DVD pour visionner une vidéo. Ce décalage nuit aux réflexions que peuvent se faire les professionnels du e-learning.
Les systèmes conventionnels et traditionnels de l’apprentissage sont maintenant en phase terminale, se mourant peu à peu. Dans la même veine, le cabinet d’études américain Metaari a publié ses résultats concernant le business et les opportunités du digital learning pour 2016. Il a observé que le marché du self-paced learning a glissé en territoire ennemi, c’est-à-dire que son taux de croissance est devenu négatif, une première depuis de longues années.
Ce type de produit a atteint la dernière phase de son cycle de vie, c’est-à-dire le déclin. Pourtant, la plupart des grandes entreprises continuent d’investir et de vouloir capitaliser sur ces technologies mourantes, à l’image du nombre de package SCORM distribué vis-à-vis de l’X-API, qui représente une technologie de l’avenir concernant le tracking des données.
Il fait froid et plutôt gris ce 9 janvier 2018 dans le désert de Las Vegas. Mais dans le cœur de tous les amateurs de technologie venus du monde entier, le soleil brille pour le Consumer Electronic Show.
Cette 51e édition du CES a rassemblé 200 000 visiteurs, friands de technologies et de nouveautés, venus découvrir les produits des 3 900 exposants qui feront demain. Parmi les 600 start-up sélectionnées à travers le monde pour présenter leurs innovations (dont de nombreux français, réunis sous la bannière de la French Tech), notre entreprise tourangelle My-Serious-Game a fait le déplacement aux États-Unis.
Sur ces terres avaient été présentés pour la première fois le jeu « Pong » en 1975 puis la Nintendo Entertainment System dix ans plus tard. Que de chemin parcouru depuis, dans le monde du jeu vidéo qui revendique même aujourd'hui une place de choix dans les salles de formation en entreprise ! Et quel meilleur endroit pour dévoiler notre box de formation gamifiée et collaborative ALO que ce temple du jeu, Las Vegas ?
Pour l'occasion, nous avons créé un jeu vidéo dans lequel un pilote et un contrôleur aérien doivent s'entraider pour mener leur fusée spatiale à destination. Bien que cette démo ne présente encore qu'une fraction des possibilités de la box, elle a suscité la curiosité des visiteurs. La box « ALO » de My-Serious-Game permettra de connecter les mobiles et tablettes de milliers d'apprenants sur une même session de formation, adaptative et ludifiée.
Libre à eux de donner un coup de main ou tendre des pièges, sous l’œil omniscient du formateur. Véritable maître du jeu et conscient de chaque action et décision des participants, il modifiera le cours de la formation en temps réel... Il aura lui même conçu son parcours pédagogique à partir des outils de la box, guidé par sa puissante intelligence artificielle.
Curieux de voir le jeu et la box en action ? Découvrez-les dans la vidéo ci-dessous.
Les rencontres furent belles et nombreuses sur notre stand : l'US Army et l'US Air Forces, les gouvernements américains et canadiens, de nombreuses universités nord-américaines... Les possibilités d'ALO ne leur ont pas échappé, puisqu'ils sont tous désireux de faire gagner leurs formateurs en autonomie. Nos voisins outre-Atlantique ont donc les même besoins que les entreprises françaises, une très bonne nouvelle pour My-Serious-Game qui vise l'international !
A la fois organisme de formation, SS2I et agence de communication, la start-up My Serious-Game, fondée à Tours, en 2014, par Frédéric Kuntzmann élabore des formations digitales personnalisées axées sur le jeu. Leader sur son marché l’entreprise se démarque par sa centaine de programmes interactifs suivis par plus d’un million d’apprenants.
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Lisbonne : son soleil, ses azulejos, ses pastéis de nata et depuis l’an dernier, son Web Summit. Plus de 65 000 digital enthusiasts de 170 pays différents ont pris d’assaut la capitale portugaise du 6 au 9 novembre 2017, pour assister à la plus grande conférence tech du monde.
Cette année, elle propose pas moins de 24 conférences thématiques autour du web et des intervenants aussi célèbres que Stephen Hawking ou Sophia. Mais si, Sophia, le robot humanoïde qui vient de se voir accorder la citoyenneté saoudite.
Nous avons pris nos billets avec l’idée de rencontrer de potentiels futurs partenaires, aussi bien pour la France que pour l’international. Bien que nous soyons presque les seuls au Web Summit spécialisés dans le digital learning, plusieurs start-up y présentent des créations complémentaires aux nôtres, susceptibles d’enrichir notre offre sur-mesure et clé en main. Nous souhaitions donc faire le plein d’idées et de contacts, afin de développer quelque chose toujours plus grand et complet pour nos clients.
Au milieu des mastodontes Google, IBM, Facebook, Microsoft et autres Amazon, My-Serious-Game a pu se faire une place parmi 7 000 entrepreneurs désireux de mettre leurs innovations sous les spotlights et pitcher leurs concepts en 20 secondes chrono. Petit retour sur 3 jours riches en rencontres et surprises.
Allez encore plus loin sur ce Web Summit 2017 avec encore pleins de surprises.
La capitale Française est devenue, l’espace de 3 journées,« the place to be » pour les start-up innovantes internationales. Pendant les deux premières journées, ce salon a donné rendez-vous aux professionnels, surnommés les « game changers » pour faire éclore de brillantes idées suite aux innombrables échanges et opportunités offertes par ce salon. VivaTech a ensuite ouvert ses portes au grand public le samedi 17 Juin, pour donner au plus grand nombre l’accès aux innovations de demain.
Du côté des chiffres clés, 90% des conférences et pitchs étaient en anglais, 50 pays étaient représentés, 50 000 personnes ont poussé les portes du salon, 5 000 start-up, 1 000 investisseurs et 400 speakers étaient présents pour faire vivre ces journées incontournables de la Tech.
Maurice Levy, CEO de Publicis Groupe et co-organisateur de l’événement, annonçait la couleur de cette seconde édition de Viva Technologies : « Nous voulons qu’il soit plus innovant et plus international que la 1ère édition. Nous voulons que chaque visiteurs et partenaires repartent avec de nouvelles idées qui les aident dans leurs business. » Alors, quelles sont les innovations qui ont le plus retenu notre attention, tout particulièrement dans le domaine des RH, de la formation et des nouvelles technologies ?
L’International Learning & Development Institute (IL&DI), un cabinet spécialisé en innovation de la formation organise son célèbre Digital Learning Day, le 22 et 23 juin 2017 au Club Confair à Paris. Un événement d’exception pour se préparer et dessiner les tendances de formation numérique.
Cette année encore, il sera structuré autour de 3 temps forts :
Après 2 ans de présence, nous renouvelons cette expérience, toujours dans l’optique d’être précurseurs en matière de formation digitale. Nous partagerons avec vous nos découvertes, nos bonnes idées et les progrès du monde du e-learning. Cet évènement rassemblera les plus gros acteurs nationaux du e-learning, serious game, mobile learning, des fournisseurs de nouvelles technologies liées aux LMS, etc.
A cette occasion, Frédéric présentera sa vision d’expert sur la thématique des serious game, et plus précisément sur la force des serious game collaboratifs, à l’heure où les apprenants cherchent à devenir acteur de leur formation.
Venez vous joindre à nous lors de cet événement, afin d’échanger sur vos problématiques digitales et réfléchir à une nouvelle structure de votre plan de formation. En prime, IL&DI vous mettra à disposition son nouveau livre blanc, intitulé “Le digital learning book”, dont nous sommes partenaires.
2017 est bel et bien arrivé. Peut-être avez-vous pu nous croiser dans les couloirs du CES où, cette année encore, des objets jusqu'à lors encore inconnus vont devenir incontournables. En parallèle de cet engouement pour Las Vegas, nous avons dressé une liste des événements e-learning francophones incontournables en 2017.
Le iLearning Forum Paris, c’est l’événement n°1 en France dédié aux technologies de l’apprentissage. Pensé comme un lieu d’échanges entre les mondes de la formation et de l’éducation, ce salon est incontournable pour tous ceux ayant envie de tester ou découvrir de nouvelles formations numériques.
L’eLearning Expo est le salon qui s’adresse aux responsables des ressources humaines, de la formation, du eLearning et aussi (tout de même) aux dirigeants d’entreprises. En 2016, les outils d’évaluation et de suivi, la digitalisation, les Serious Games et le Blended Learning ont été les mots clefs du salon. Quels seront ceux de cette année ? Le digital learning collaboratif ou encore la réalité virtuelle feront-ils tourner les têtes ?
La SNQuébec, soit la Semaine Numérique de Québec, revient pour sa deuxième édition. Créateur de contenus Web, jeux-vidéos, serious game ou simple amateur des nouvelles tendances numériques, les événements proposés Outre-Atlantique sauront vous séduire.
Pour tenir vos bonnes résolutions pour l’année 2017, ajoutez ces événements e-learning à votre calendrier. Nous, on affute nos esprits et on se fait tout beau chez My-Serious-Game. Ces rencontres sont des moments forts d’échanges, de partages, que nous affectionnons particulièrement.
Nos plus belles réalisations, nos nouveaux projets brûlants sortis du four, notre métier, notre passion, on ne vous cache rien, on vous dit tout. Toute l’équipe vous attend avec impatience lors de ces grands RDV’s du E-Learning et des nouvelles technologies.
Chaque année le salon organisé par Solutions RH réunit des experts de la formation, du digital learning ou encore des ressources humaines. Au programme, présentations d’innovations, animations de conférences et surtout échanges autour de vos enjeux de formation et défis numériques.
Avec cette année si particulière, l’événement a revêtu un caractère inédit, les projets sont plus discrets et les enjeux plus grands. Nous avons choisi d’être présents pour cette nouvelle édition pour vous redonner confiance mais aussi pour retrouver cet échange qui nous plaît tant lorsque nous vous rencontrons.
On le sait, plus que jamais, la révolution numérique est au centre des préoccupations des formateurs. Avec le plan de relance initié par le gouvernement, on parle de "200 à 300 millions d'euros prévus pour aider les organismes de formation à se lancer sérieusement, et sur le long terme, dans le numérique". (Les Echos)
Déjà en 2018, "69% des DRH ont mis en place des formations aux nouveaux usages du numérique" (enquête ANDRH). Un chiffre que l’on peut imaginer bien à la hausse aujourd’hui, lorsque l’on voit l’émergence d'une “digital Workplace”. La “digital Workplace” c’est la digitalisation d’un espace dédié à la communication (e-mails, messagerie instantanée, outils de réunions virtuelles) condensé dans un outil “all in one”. Ce phénomène a connu un essor en cette période de pandémie, l’objectif principal étant de transformer l’expérience collaborateur grâce à une combinaison entre efficacité et innovation collaborative.
En dépit de l’émergence du télétravail et le record battu de Microsoft Teams avec ses 44 millions d'utilisateurs actifs quotidiennement, des écarts sont encore à prendre en compte. En effet, comme le rapporte Josh Bersin, "malgré les meilleurs efforts de chaque PDG et responsable RH, l'étude COVID Business Resilience montre que seulement 24% des entreprises apprennent aux managers à soutenir les équipes à distance, 58% ne pensent pas avoir les bons outils ou la bonne culture pour le travail à distance, et seuls 41% estiment avoir formé des employés adéquatement pour être « bien » dans ce nouvel environnement". Il y a donc un besoin, en dehors de celui du digital, de former et d’être accompagné.
Nous souhaitons donc offrir un contexte pédagogique plus connecté à l'environnement de travail qui favorise l'engagement et l'efficacité opérationnelle. Cela passe par plusieurs étapes clés : il y a notamment la recherche de cohérence entre les résultats escomptés de son module de formation et ses objectifs prédéfinis, mais aussi l’importance d’impliquer ses apprenants au travers d’un suivi et d’une évaluation, dans une logique d’amélioration continue. Il faut que l’apprenant se sente grandi et puisse avancer, pour mesurer l’efficacité de la formation. Le tout réside donc dans un équilibre entre conseil, accompagnement et efficacité, les trois piliers de l’EdTech qui vous aideront à assurer une vraie qualité de formation.
Un des enjeux majeurs de cette rentrée est renforcer le sentiment d’appartenance de la part des collaborateurs dans leur société, et ce dans un contexte incertain. Les outils comme ceux utilisés dans le cadre de la Digital Workplace ont pour vocation de renforcer la marque employeur, la culture d’entreprise, à l’heure où justement les individus sont plus que jamais en quête d’authenticité et de sens. Comme en témoigne certains experts RH il faut désormais parler de “culture apprenante”.
Il faut prioriser le développement des compétences mais aussi le transfert de savoir-faire. Dans ce monde incertain, il faut leur laisser la possibilité d'interagir. A cette difficulté de contexte se rajoute le fait que, de plus en plus, les collaborateurs quittent facilement leur entreprise. Le sentiment d’appartenance doit donc se renforcer. Dans l’univers des formations digitales, cela passe par le fait de “rendre acteur” les apprenants. Il faut désormais privilégier une pédagogie active afin que le collaborateur puisse mettre en pratique ses savoirs au travers de situations concrètes.
Avec l’élaboration de nos 10 concepts Out Of The Box, la boîte à idées de My-Serious-Game, nous vous proposons d’avoir accès à des solutions innovantes, courtes, percutantes et simples à déployer pour vos formations digitales, dont certaines pourront vous aider à résoudre cette problématique d'actualité. De quoi vous accompagner vous et votre organisation apprenante vers de nouveaux horizons...
Une question peut se poser : “Comment susciter la motivation de ses apprenants, surtout à distance ?” Pendant longtemps nous avons parlé d’ancrage mémoriel, basé sur la répétition pour une meilleure assimilation de connaissances. A l’heure actuelle, il semblerait que ce soit plutôt l’ancrage émotionnel qui ait la cote.
Il est de plus en plus utilisé dans le cadre de la gamification des formations. Nous avons remarqué que plus l’apprenant était chargé en émotions, plus il est facile de lui ancrer des connaissances et compétences - ainsi, nous allons plutôt jouer sur le levier émotionnel. Cela va de paire avec la recherche de sens des collaborateurs. Si on propose d'infuser à un apprenant des connaissances qui suscitent un intérêt, un sentiment, une émotion chez lui alors cela ne pourra être que prometteur quant à ses performances. En agissant comme un marqueur, l’ancrage émotionnel va engager l’apprenant qui pourra mettre en pratique ses connaissances plus facilement lors de situations concrètes.
Dans l’optique d’un accompagnement dans vos nouveaux enjeux de formation et défis numériques, My-Serious-Game peut vous apporter des solutions premium et sur-mesure.
Comme l’a notamment exprimé Frédéric Kuntzmann, lors de sa conférence à l’e-learning expo : “Nous sommes dans une logique d'accompagnement et de conseil. Quand nous collaborons avec une entreprise, nous ne sommes pas simplement leur prestataire mais nous sommes co-constructeurs de leur module de formation, et ce pour une véritable fusion d'idées”. Pour illustrer ses propos, prenons l’exemple d’une voiture intelligente, on peut l’avoir mais ne pas savoir s’en servir. C’est là que cette notion prend tout son sens, si nous sommes accompagnés il sera plus simple d’apprivoiser le véhicule et son utilisation.
Vous pouvez soit décider de nous confier vos projets, et My-Serious-Game saura répondre présent et vous accompagner, soit créer vous-même vos formations et dans ce cas, notre produit EdMill sera votre allié. Intégrez directement vos connaissances à cette plateforme all-in-one et laissez-vous guider.
Pour répondre aux besoins du personnel soignant, nous avons lancé IFSImulation, la première simulation 100% digitale dédiée à l’application de prescriptions médicales pour un apprentissage par la pratique. La plateforme permet de modéliser des situations propres au domaine médical et notamment celles que peuvent connaître les médecins, les infirmiers ou encore les vétérinaires.
Ce concept est basé sur le leitmotiv “Jamais la première fois sur le patient”. Dans cet univers entièrement gamifié, il est possible d’évoluer librement, de se tromper sans être bloqué dans une simulation, l’étudiant infirmier “debriefant” avec son formateur pour comprendre les conséquences de chacune de ses actions.
Lors de la dernière journée du salon, le 24 septembre, Guillaume Etlin, à l'origine de ce beau projet, s’est vu remettre le Trophée du Digital Learning dans la catégorie “Innover en formation” pour sa collaboration avec l’IFSI de Guéret. Une véritable consécration !
Vous n'avez pas pu vous rendre au salon pour assister à sa conférence ou rencontrer notre équipe ? Rien n'est perdu, le CEO de My-Serious-Game en personne a animé un live le 6 octobre dernier pour parler du futur de la formation et répondre à toutes vos questions.
My-Serious-Game crée des parcours de formation numérique sur-mesure, haut de gamme et clé en main (serious games, blended learning, réalité virtuelle et augmentée, applications mobiles, digital learning, simulations 3D, vidéos interactives...) avec un réel accompagnement du client et une méthodologie d'ingénierie de formation digitale certifiée par l'AFNOR.
1 rue Gambetta
